Selon des sources proches du dossier, Moustapha Maïga est en bonne santé et a accès à son téléphone, bien qu’il demeure pour l’instant retenu au commissariat et privé de ses mouvements.
Dans un message échangé via WhatsApp, le journaliste a confirmé qu’il allait bien. "Je suis toujours au commissariat. Pas libre de mes mouvements.", a-t-il écrit. Des démarches ont été entreprises pour garantir que son interrogatoire respecte les normes et principes des Droits de l’Homme.
Cette affaire intervient dans un contexte géopolitique tendu, marqué par des relations complexes entre la Côte d’Ivoire et certains membres de l’Alliance des États du Sahel (AES). Toutefois, les défenseurs des droits humains appellent à la sérénité et à une mobilisation en faveur d’une résolution rapide et sans incident.
"Nous souhaitons que Moustapha Maïga soit relâché sans délai, dans la mesure où rien de particulier ne lui est reproché", a déclaré Ben Ayoub, consultant en médias et droits de l’Homme, qui a suivi de près l’affaire.
Dans un post sur son compte méta consulté par l'agence de presse Top News Africa, il a également invité les organisations de défense des droits humains à surveiller les pratiques aux frontières afin de garantir le respect des droits des voyageurs.
L’opinion publique ivoirienne et plusieurs acteurs de la société civile ont salué les efforts entrepris pour assurer la sécurité et la libération rapide du journaliste. Les observateurs insistent sur la nécessité d’éviter toute récupération politique de cette affaire et appellent au calme et à la vigilance.
Pour l’heure, Moustapha Maïga reste en contact avec ses proches et bénéficie d’un suivi attentif de la part de plusieurs organisations. Sa libération est espérée dans les plus brefs délais.
Dans un message échangé via WhatsApp, le journaliste a confirmé qu’il allait bien. "Je suis toujours au commissariat. Pas libre de mes mouvements.", a-t-il écrit. Des démarches ont été entreprises pour garantir que son interrogatoire respecte les normes et principes des Droits de l’Homme.
Cette affaire intervient dans un contexte géopolitique tendu, marqué par des relations complexes entre la Côte d’Ivoire et certains membres de l’Alliance des États du Sahel (AES). Toutefois, les défenseurs des droits humains appellent à la sérénité et à une mobilisation en faveur d’une résolution rapide et sans incident.
"Nous souhaitons que Moustapha Maïga soit relâché sans délai, dans la mesure où rien de particulier ne lui est reproché", a déclaré Ben Ayoub, consultant en médias et droits de l’Homme, qui a suivi de près l’affaire.
Dans un post sur son compte méta consulté par l'agence de presse Top News Africa, il a également invité les organisations de défense des droits humains à surveiller les pratiques aux frontières afin de garantir le respect des droits des voyageurs.
L’opinion publique ivoirienne et plusieurs acteurs de la société civile ont salué les efforts entrepris pour assurer la sécurité et la libération rapide du journaliste. Les observateurs insistent sur la nécessité d’éviter toute récupération politique de cette affaire et appellent au calme et à la vigilance.
Pour l’heure, Moustapha Maïga reste en contact avec ses proches et bénéficie d’un suivi attentif de la part de plusieurs organisations. Sa libération est espérée dans les plus brefs délais.
MD/Top News Africa
Publié le dimanche 26 janvier 2025