À quelques huit mois de l’élection présidentielle d’octobre 2025, l’ancien chef de l’État a réaffirmé son attachement à un scrutin transparent et apaisé, appelant à des institutions électorales impartiales et crédibles.
S’exprimant devant une foule de militants et sympathisants, Laurent Gbagbo a insisté sur les conditions nécessaires à une élection démocratique.
"Dans une démocratie, il faut accepter la divergence des idées entre les acteurs politiques", a-t-il déclaré, prônant un climat politique ouvert et respectueux des différentes sensibilités.
Le leader du PPA-CI a également mis l’accent sur l’importance d’un processus électoral transparent, appelant à une Commission électorale indépendante (CEI) réellement neutre.
"Il faut un organe neutre pour organiser les élections", a-t-il martelé, soulignant que la confiance des citoyens dans les institutions électorales est un facteur déterminant pour la stabilité du pays.
Laurent Gbagbo a par ailleurs abordé la question de la régularité du fichier électoral, dénonçant des irrégularités dans l’inscription des électeurs.
Il a pointé du doigt la présence de non-nationaux sur les listes et exhorté les autorités à veiller à ce que seuls les Ivoiriens puissent voter.
"Il faut que ceux qui sont sur la liste électorale soient des Ivoiriens", a-t-il insisté, appelant le gouvernement à agir pour garantir un fichier électoral fiable.
Après Adjamé le 25 janvier dernier, Marcory marque la deuxième étape de la tournée "Côcôcô" de Laurent Gbagbo.
Cette initiative vise à sensibiliser les populations des différentes communes d’Abidjan aux enjeux du scrutin présidentiel à venir. Dans les semaines à venir, l’ancien chef d’État prévoit de poursuivre son périple dans d’autres localités du district.
M. Gbagbo qui a été acquitté par la justice internationale de crimes contre l'humanité commis lors de la sanglante crise post-électorale de 2010-2011, a annoncé sa candidature pour l’élection présidentielle ivoirienne d’octobre 2025.
Cependant, il reste sous le coup d'une condamnation à 20 ans de prison en Côte d'Ivoire pour le "braquage" de la Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO) en 2011.
Malgré la grâce accordée par le président Alassane Ouattara l'an dernier dans cette affaire, il reste déchu de ses droits civiques et politiques.
S’exprimant devant une foule de militants et sympathisants, Laurent Gbagbo a insisté sur les conditions nécessaires à une élection démocratique.
"Dans une démocratie, il faut accepter la divergence des idées entre les acteurs politiques", a-t-il déclaré, prônant un climat politique ouvert et respectueux des différentes sensibilités.
Le leader du PPA-CI a également mis l’accent sur l’importance d’un processus électoral transparent, appelant à une Commission électorale indépendante (CEI) réellement neutre.
"Il faut un organe neutre pour organiser les élections", a-t-il martelé, soulignant que la confiance des citoyens dans les institutions électorales est un facteur déterminant pour la stabilité du pays.
Laurent Gbagbo a par ailleurs abordé la question de la régularité du fichier électoral, dénonçant des irrégularités dans l’inscription des électeurs.
Il a pointé du doigt la présence de non-nationaux sur les listes et exhorté les autorités à veiller à ce que seuls les Ivoiriens puissent voter.
"Il faut que ceux qui sont sur la liste électorale soient des Ivoiriens", a-t-il insisté, appelant le gouvernement à agir pour garantir un fichier électoral fiable.
Après Adjamé le 25 janvier dernier, Marcory marque la deuxième étape de la tournée "Côcôcô" de Laurent Gbagbo.
Cette initiative vise à sensibiliser les populations des différentes communes d’Abidjan aux enjeux du scrutin présidentiel à venir. Dans les semaines à venir, l’ancien chef d’État prévoit de poursuivre son périple dans d’autres localités du district.
M. Gbagbo qui a été acquitté par la justice internationale de crimes contre l'humanité commis lors de la sanglante crise post-électorale de 2010-2011, a annoncé sa candidature pour l’élection présidentielle ivoirienne d’octobre 2025.
Cependant, il reste sous le coup d'une condamnation à 20 ans de prison en Côte d'Ivoire pour le "braquage" de la Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO) en 2011.
Malgré la grâce accordée par le président Alassane Ouattara l'an dernier dans cette affaire, il reste déchu de ses droits civiques et politiques.
CB/md/Top News Africa
Publié le samedi 8 février 2025