A l’ouverture des travaux, Édouard Kouaho Amichia, secrétaire permanent de la Commission pour l’interdiction des armes chimiques en Côte d’Ivoire, a souligné que ‘’les points d’entrée tels que les aéroports, les ports et les frontières sont des cibles potentielles pour la pénétration des substances chimiques dans les pays’’.
Selon M. Amichia, il convient ‘’ d’accroître les capacités opérationnelles des participants’’ afin de ‘’ réduire les fraudes’’ et d’assurer ‘’une traçabilité efficace des produits chimiques à travers les frontières’’, a-t-il émis.
Quant au Directeur général des Douanes ivoiriennes, Dah Pierre Alphonse, il a salué cet atelier de renforcement des capacités des administrations douanières de l’Afrique francophone qui permettra, selon lui, la mise en œuvre de programmes concrets de réduction des armes chimiques qui constituent des armes de destruction massive les plus utilisées.
Dans cette même veine, le Directeur de cabinet du ministère en charge des Affaires étrangères, Kanté-Kouassi Joachim, a indiqué que ladite réunion revêt une importance capitale dans la lutte collective contre le terrorisme et la prolifération des armes chimiques. Elle ambitionne de discuter des mesures concrètes et des dispositions à prendre pour empêcher l’utilisation des produits chimiques à des fins désastreuses.
L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) est une organisation internationale créée le 20 mai 1997 et qui veille à la bonne application de la Convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage et de l’emploi des armes chimiques et sur leur destruction. Son laboratoire se trouve à Ryswick aux Pays-Bas.
Selon M. Amichia, il convient ‘’ d’accroître les capacités opérationnelles des participants’’ afin de ‘’ réduire les fraudes’’ et d’assurer ‘’une traçabilité efficace des produits chimiques à travers les frontières’’, a-t-il émis.
Quant au Directeur général des Douanes ivoiriennes, Dah Pierre Alphonse, il a salué cet atelier de renforcement des capacités des administrations douanières de l’Afrique francophone qui permettra, selon lui, la mise en œuvre de programmes concrets de réduction des armes chimiques qui constituent des armes de destruction massive les plus utilisées.
Dans cette même veine, le Directeur de cabinet du ministère en charge des Affaires étrangères, Kanté-Kouassi Joachim, a indiqué que ladite réunion revêt une importance capitale dans la lutte collective contre le terrorisme et la prolifération des armes chimiques. Elle ambitionne de discuter des mesures concrètes et des dispositions à prendre pour empêcher l’utilisation des produits chimiques à des fins désastreuses.
L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) est une organisation internationale créée le 20 mai 1997 et qui veille à la bonne application de la Convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage et de l’emploi des armes chimiques et sur leur destruction. Son laboratoire se trouve à Ryswick aux Pays-Bas.
AE/Top News Africa
Publié le mercredi 22 mai 2024