C'est l'intéressé, lui-même, qui donne l'information dans un message échangé via le réseau social WhatsApp.
"Je suis libre! Je quitte le commissariat de Gaya (Niger), depuis le lundi matin, 12h 14 (GMT+1)'', écrit-il depuis la ville béninoise de MalanVille en route pour Bamako au Mali, remerciant ''le Président de la République de Côte d’Ivoire, la Première Dame, le Ministre de la Communication ainsi que l’Ambassadeur et le Consul de Côte d’Ivoire au Niger''.
Le journaliste exprime sa reconnaissance, ''au Président de l’UNJCI, Jean-Claude Coulibaly et à toutes les organisations professionnelles de journalistes, partout en Afrique et à travers le monde'' pour leur mobilisation.
Il associe à cet élan de solidarité "les hommes de média, influenceurs et bloggeurs (lanceurs d’alerte) dont le soutien, prompt a été déterminant pour sa libération".
Selon son oncle Justin Bely, cadre dans une entreprise de la place, Moustapha Maïga avec qui il a échangé, juste après sa mise en liberté, se porte bien.
"Je suis libre! Je quitte le commissariat de Gaya (Niger), depuis le lundi matin, 12h 14 (GMT+1)'', écrit-il depuis la ville béninoise de MalanVille en route pour Bamako au Mali, remerciant ''le Président de la République de Côte d’Ivoire, la Première Dame, le Ministre de la Communication ainsi que l’Ambassadeur et le Consul de Côte d’Ivoire au Niger''.
Le journaliste exprime sa reconnaissance, ''au Président de l’UNJCI, Jean-Claude Coulibaly et à toutes les organisations professionnelles de journalistes, partout en Afrique et à travers le monde'' pour leur mobilisation.
Il associe à cet élan de solidarité "les hommes de média, influenceurs et bloggeurs (lanceurs d’alerte) dont le soutien, prompt a été déterminant pour sa libération".
Selon son oncle Justin Bely, cadre dans une entreprise de la place, Moustapha Maïga avec qui il a échangé, juste après sa mise en liberté, se porte bien.
HS/Top News Africa
Publié le lundi 27 janvier 2025