Le vice-président ivoirien Tiémoko Meyliet Koné, le Premier ministre Robert Beugré Mambé et le ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara, ont assisté à cet événement marquant une évolution majeure dans la coopération militaire entre Abidjan et Paris.
Désormais, le drapeau ivoirien flotte sur la place d’armes de cette installation militaire, rebaptisée "camp général Ouattara Thomas-d’Aquin", en hommage au premier chef d’état-major des forces armées ivoiriennes. Ce site stratégique, situé à Port-Bouët, abritait jusqu’ici environ 1 000 soldats français engagés dans la lutte contre le terrorisme au Sahel.
Si la présence militaire française en Côte d’Ivoire se transforme, elle ne disparaît pas totalement. "La France a décidé de transformer sa présence en Côte d’Ivoire", a déclaré Sébastien Lecornu, ministre français des Armées, lors de son déplacement à Abidjan.
Environ 80 militaires français resteront sur place pour des missions de formation des forces armées ivoiriennes.
Cette rétrocession, annoncée le 31 décembre 2024 par le président ivoirien Alassane Ouattara et confirmée quelques jours plus tard par Emmanuel Macron, marque une nouvelle étape dans les relations bilatérales.
Contrairement aux tensions observées au Tchad et au Sénégal lors du retrait des forces françaises, la transition s’est déroulée dans un climat de coopération apaisé.
"Cette rétrocession marque une nouvelle étape dans les relations entre nos deux pays", a souligné Téné Birahima Ouattara. Un nouveau chapitre s’ouvre ainsi pour la coopération militaire franco-ivoirienne, désormais axée sur le renforcement des capacités nationales.
Désormais, le drapeau ivoirien flotte sur la place d’armes de cette installation militaire, rebaptisée "camp général Ouattara Thomas-d’Aquin", en hommage au premier chef d’état-major des forces armées ivoiriennes. Ce site stratégique, situé à Port-Bouët, abritait jusqu’ici environ 1 000 soldats français engagés dans la lutte contre le terrorisme au Sahel.
Si la présence militaire française en Côte d’Ivoire se transforme, elle ne disparaît pas totalement. "La France a décidé de transformer sa présence en Côte d’Ivoire", a déclaré Sébastien Lecornu, ministre français des Armées, lors de son déplacement à Abidjan.
Environ 80 militaires français resteront sur place pour des missions de formation des forces armées ivoiriennes.
Cette rétrocession, annoncée le 31 décembre 2024 par le président ivoirien Alassane Ouattara et confirmée quelques jours plus tard par Emmanuel Macron, marque une nouvelle étape dans les relations bilatérales.
Contrairement aux tensions observées au Tchad et au Sénégal lors du retrait des forces françaises, la transition s’est déroulée dans un climat de coopération apaisé.
"Cette rétrocession marque une nouvelle étape dans les relations entre nos deux pays", a souligné Téné Birahima Ouattara. Un nouveau chapitre s’ouvre ainsi pour la coopération militaire franco-ivoirienne, désormais axée sur le renforcement des capacités nationales.
MD/Top News Africa
Publié le jeudi 20 février 2025