Organisé par la régie Yssika en partenariat avec le Réseau des journalistes pour l’accès à l’information en Côte d’Ivoire (REJAIP-CI), l’événement entend lever le voile sur une problématique encore trop souvent taboue : la santé mentale en milieu professionnel.
Lors de la conférence inaugurale, le professeur Médard Asseman Koua, directeur du Programme national de santé mentale, a insisté sur l’importance cruciale de cette thématique.
"La santé mentale est le premier outil de travail de l'être humain. La question de la santé mentale n'est pas une option, elle est fondamentale. Investir dans la santé mentale n'est pas une option, c'est une obligation", a-t-il affirmé, appelant les entreprises et les institutions à prendre pleinement en compte ce défi majeur.
Après une première édition encourageante en 2024, le SACH 2025 veut aller plus loin en élargissant les discussions et en renforçant les acquis.
La participation d’acteurs clés – entreprises, experts en ressources humaines, praticiens et caisses sociales ivoiriennes (CNPS, CGRAE, CMU) – témoigne de la volonté d’une prise en charge plus efficace des troubles psychologiques liés au travail.
Le salon du capital humain ambitionne ainsi de sensibiliser les employeurs et les salariés à la nécessité d’un environnement professionnel sain, propice à l’épanouissement et à la productivité.
La santé mentale au travail n’est plus un luxe, mais un impératif, comme l’ont souligné les organisateurs et les intervenants.
Lors de la conférence inaugurale, le professeur Médard Asseman Koua, directeur du Programme national de santé mentale, a insisté sur l’importance cruciale de cette thématique.
"La santé mentale est le premier outil de travail de l'être humain. La question de la santé mentale n'est pas une option, elle est fondamentale. Investir dans la santé mentale n'est pas une option, c'est une obligation", a-t-il affirmé, appelant les entreprises et les institutions à prendre pleinement en compte ce défi majeur.
Après une première édition encourageante en 2024, le SACH 2025 veut aller plus loin en élargissant les discussions et en renforçant les acquis.
La participation d’acteurs clés – entreprises, experts en ressources humaines, praticiens et caisses sociales ivoiriennes (CNPS, CGRAE, CMU) – témoigne de la volonté d’une prise en charge plus efficace des troubles psychologiques liés au travail.
Le salon du capital humain ambitionne ainsi de sensibiliser les employeurs et les salariés à la nécessité d’un environnement professionnel sain, propice à l’épanouissement et à la productivité.
La santé mentale au travail n’est plus un luxe, mais un impératif, comme l’ont souligné les organisateurs et les intervenants.
MD/Top News Africa
Publié le jeudi 13 mars 2025