L'édition 2022 de Africa Santé Expo dite de "maturité" qui réunit les acteurs africains et internationaux pour faire l'état des lieux et le partage de retour d'expériences sur la problématique de la santé, est une réponse pour pallier le déficit d'adaptation au contexte actuel.
En attendant l'ouverture officielle, vendredi, de cet événement qui se veut unique, la journée de jeudi a été marquée par la conférence inaugurale autour du sous-thème: "Que faut-il faire encore plus pour atteindre l'objectif zéro palu?".
Les intervenants, Pr Serges Eholié, Chef de service des maladies infectieuses et tropicales, Dr Kouassi N'dri, représentant de l'OMS et Mme Koné Solange de la société civile, se sont accordés pour dire que le paludisme fait beaucoup de dégâts. "C'est inadmissible parce qu'on peut éviter" cette pathologie, a indiqué Dr N'dri soulignant cependant "la réduction spectaculaire des cas grâce aux renforcements des stratégies" de lutte.
Pour Pr Eholié, il ne faut pas se focaliser sur les vaccins validés dans des pays qui n'ont forcément pas les mêmes caractéristiques épidémiologiques. C'est pourquoi Mme Solange Koné préconise le retour aux "fondamentaux". "Avec les soins de santé primaire, on peut agir sur la maladie", a-t-elle souligné.
Des tables rondes de haut niveau, des ateliers, des rencontres B to B et une exposition créant un village de la santé sont au programme de ce salon auquel participent de nombreux laboratoires.
En attendant l'ouverture officielle, vendredi, de cet événement qui se veut unique, la journée de jeudi a été marquée par la conférence inaugurale autour du sous-thème: "Que faut-il faire encore plus pour atteindre l'objectif zéro palu?".
Les intervenants, Pr Serges Eholié, Chef de service des maladies infectieuses et tropicales, Dr Kouassi N'dri, représentant de l'OMS et Mme Koné Solange de la société civile, se sont accordés pour dire que le paludisme fait beaucoup de dégâts. "C'est inadmissible parce qu'on peut éviter" cette pathologie, a indiqué Dr N'dri soulignant cependant "la réduction spectaculaire des cas grâce aux renforcements des stratégies" de lutte.
Pour Pr Eholié, il ne faut pas se focaliser sur les vaccins validés dans des pays qui n'ont forcément pas les mêmes caractéristiques épidémiologiques. C'est pourquoi Mme Solange Koné préconise le retour aux "fondamentaux". "Avec les soins de santé primaire, on peut agir sur la maladie", a-t-elle souligné.
Des tables rondes de haut niveau, des ateliers, des rencontres B to B et une exposition créant un village de la santé sont au programme de ce salon auquel participent de nombreux laboratoires.
HS/ls/Top News Africa
Publié le jeudi 1 décembre 2022