Appelé à débattre du thème ‘’liberté de la presse : mythe ou réalité en Côte d’Ivoire", Dr Alfred Dan Moussa qui totalise 43 ans de carrière de journaliste, a, dans une démarche scientifique, tirant sa source depuis l’époque du parti unique jusqu’à celle du multipartisme, avec les différentes mutations de la presse ivoirienne, est arrivé à répondre à cette problématique.
‘’La liberté de la presse n’est pas un mythe mais une réalité en Côte d’Ivoire, car aucun journaliste n’est en prison au moment où le monde entier célèbre la liberté d’expression. La liberté de la presse est une réalité car aucun journaliste n’est tué en Côte d’Ivoire au moment où le monde célèbre la liberté de la presse (…)’’, a longuement, insisté Dr Dan Moussa et de s’interroger ‘’que sera cette liberté de la presse après le président Alassane Ouattara ?’’.
Selon lui, le 3 mai, jour commémoratif de la liberté de la presse, '' n’est plus une journée de revendication mais plutôt une journée de doléances”, rappelant qu’à l’époque, à cette date ‘’on organisait une marche sur le Plateau, centre des affaires et quartier administratif où se trouve le pouvoir, pour porter nos revendications au Premier ministre ou si nous avons la chance, au Président de la République’’.
Fisant une communication sur '' les liens entre la liberté d’expression et les autres droits de l’homme'', Dr Bamba Sidiki, maître-assistant en Sciences de l’Information et de la Communication à l'Université Félix Houphouët-Boigny, a fait remarquer que “ la liberté d’expression est la mère de toutes les autres libertés”.
Le président de l’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Jean Claude Coulibaly a invité les journalistes à se rendre, massivement, à la cour de la maison de la RTI à Cocody, dans l’Est d’Abidjan qui abritera, mercredi, la cérémonie officielle de la 30è journée mondiale de la liberté de la presse.
Cette journée sera organisée le mercredi 03 mai 2023, en présence du ministre de la Communication et de l’Economie numérique, Amadou Coulibally, autour du thème : '' Façonner un avenir de droits : la liberté d'expression comme moteur de tous les autres droits de l'homme".
‘’La liberté de la presse n’est pas un mythe mais une réalité en Côte d’Ivoire, car aucun journaliste n’est en prison au moment où le monde entier célèbre la liberté d’expression. La liberté de la presse est une réalité car aucun journaliste n’est tué en Côte d’Ivoire au moment où le monde célèbre la liberté de la presse (…)’’, a longuement, insisté Dr Dan Moussa et de s’interroger ‘’que sera cette liberté de la presse après le président Alassane Ouattara ?’’.
Selon lui, le 3 mai, jour commémoratif de la liberté de la presse, '' n’est plus une journée de revendication mais plutôt une journée de doléances”, rappelant qu’à l’époque, à cette date ‘’on organisait une marche sur le Plateau, centre des affaires et quartier administratif où se trouve le pouvoir, pour porter nos revendications au Premier ministre ou si nous avons la chance, au Président de la République’’.
Fisant une communication sur '' les liens entre la liberté d’expression et les autres droits de l’homme'', Dr Bamba Sidiki, maître-assistant en Sciences de l’Information et de la Communication à l'Université Félix Houphouët-Boigny, a fait remarquer que “ la liberté d’expression est la mère de toutes les autres libertés”.
Le président de l’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Jean Claude Coulibaly a invité les journalistes à se rendre, massivement, à la cour de la maison de la RTI à Cocody, dans l’Est d’Abidjan qui abritera, mercredi, la cérémonie officielle de la 30è journée mondiale de la liberté de la presse.
Cette journée sera organisée le mercredi 03 mai 2023, en présence du ministre de la Communication et de l’Economie numérique, Amadou Coulibally, autour du thème : '' Façonner un avenir de droits : la liberté d'expression comme moteur de tous les autres droits de l'homme".
HS/ls/Top News Africa
Publié le mardi 2 mai 2023