Ces réquisitions, prononcées devant le tribunal correctionnel de Paris, ont été justifiées par "la gravité des faits" reprochés à l’ex-chef de l’État.
L’ancien président, jugé pour corruption et financement illégal de campagne électorale en lien avec un supposé soutien du régime libyen de Mouammar Kadhafi à sa campagne présidentielle de 2007, a accueilli cette demande avec un visage figé, selon les observateurs présents dans la salle d’audience.
Dans un message publié sur son compte X (anciennement Twitter), Nicolas Sarkozy a dénoncé "la fausseté et la violence des accusations et l’outrance de la peine réclamée", affirmant son innocence.
Par ailleurs, le ministère public a également requis des peines de prison contre deux proches de l’ancien chef de l’État : six ans pour Claude Guéant et trois ans pour Brice Hortefeux, assorties d’amendes.
Les magistrats ont estimé que ces anciens ministres avaient joué un rôle clé dans la mise en place d’un pacte de corruption avec le dirigeant libyen de l’époque.
Ce nouvel épisode judiciaire intervient alors que Nicolas Sarkozy purge déjà une peine sous bracelet électronique depuis le 7 février dernier dans l’affaire des écoutes.
Cette sanction, inédite pour un ancien président français, limite ses déplacements à certaines heures déterminées par le juge d’application des peines.
Le tribunal correctionnel doit désormais délibérer avant de rendre son jugement, dans un dossier aux lourdes implications politiques et judiciaires pour Nicolas Sarkozy.
L’ancien président, jugé pour corruption et financement illégal de campagne électorale en lien avec un supposé soutien du régime libyen de Mouammar Kadhafi à sa campagne présidentielle de 2007, a accueilli cette demande avec un visage figé, selon les observateurs présents dans la salle d’audience.
Dans un message publié sur son compte X (anciennement Twitter), Nicolas Sarkozy a dénoncé "la fausseté et la violence des accusations et l’outrance de la peine réclamée", affirmant son innocence.
Par ailleurs, le ministère public a également requis des peines de prison contre deux proches de l’ancien chef de l’État : six ans pour Claude Guéant et trois ans pour Brice Hortefeux, assorties d’amendes.
Les magistrats ont estimé que ces anciens ministres avaient joué un rôle clé dans la mise en place d’un pacte de corruption avec le dirigeant libyen de l’époque.
Ce nouvel épisode judiciaire intervient alors que Nicolas Sarkozy purge déjà une peine sous bracelet électronique depuis le 7 février dernier dans l’affaire des écoutes.
Cette sanction, inédite pour un ancien président français, limite ses déplacements à certaines heures déterminées par le juge d’application des peines.
Le tribunal correctionnel doit désormais délibérer avant de rendre son jugement, dans un dossier aux lourdes implications politiques et judiciaires pour Nicolas Sarkozy.
MD/Top News Africa
Publié le jeudi 27 mars 2025