Selon ces sources, le décès est survenu, le samedi 18 février 2023, à son domicile à Cocody-Mermoz.
‘’Tard dans la nuit, un bruit en provenance de sa chambre a attiré l’attention de la maisonnée. Les enfants ont accouru vers la chambre, l’ont trouvé gémissant et ont immédiatement appelé le SAMU (Service d'aide médicale urgente). Le temps que l’équipe de secours arrive, le préfet a rendu l’âme’’, confie à l'agence de presse Top News Africa, la gorge encore nouée, l’un de ses proches et cadre de Guibéroua, sa région d’origine, dans le département de Gagnoa, au centre-ouest du pays.
Gnahoré Jean-Baptiste, préfet hors-grade à la retraite depuis 1995, est un cadre d’abord du Front populaire ivoirien (FPI) dont il fut président du Comité de contrôle et ensuite du PPA-CI. Il a été, également, président du Conseil général de Gagnoa.
Fidèle compagnon de lutte de Laurent Gbagbo, Gnahoré Jean-Baptiste est connu pour ne pas avoir la langue dans la poche.
Alors préfet du département de Daoukro, avec son franc-parler, il avait demandé, en 1989 lors d’un Conseil national de dialogue réunissant toutes les couches socio-professionnelles du pays, au Président Houphouët-Boigny d’appliquer l’article 7 de la Constitution pour instaurer le multipartisme.
‘’Tard dans la nuit, un bruit en provenance de sa chambre a attiré l’attention de la maisonnée. Les enfants ont accouru vers la chambre, l’ont trouvé gémissant et ont immédiatement appelé le SAMU (Service d'aide médicale urgente). Le temps que l’équipe de secours arrive, le préfet a rendu l’âme’’, confie à l'agence de presse Top News Africa, la gorge encore nouée, l’un de ses proches et cadre de Guibéroua, sa région d’origine, dans le département de Gagnoa, au centre-ouest du pays.
Gnahoré Jean-Baptiste, préfet hors-grade à la retraite depuis 1995, est un cadre d’abord du Front populaire ivoirien (FPI) dont il fut président du Comité de contrôle et ensuite du PPA-CI. Il a été, également, président du Conseil général de Gagnoa.
Fidèle compagnon de lutte de Laurent Gbagbo, Gnahoré Jean-Baptiste est connu pour ne pas avoir la langue dans la poche.
Alors préfet du département de Daoukro, avec son franc-parler, il avait demandé, en 1989 lors d’un Conseil national de dialogue réunissant toutes les couches socio-professionnelles du pays, au Président Houphouët-Boigny d’appliquer l’article 7 de la Constitution pour instaurer le multipartisme.
HS/ls/Top News Africa
Publié le dimanche 19 février 2023