Cette enquête a été menée du 7 au 15 janvier 2024, dans 17 communes de la Côte d’Ivoire sur un échantillon de 1500 personnes dont l’âge est de 18 ans et plus. Elle s’est déroulée autour du thème ‘’ Comment les Ivoiriens s’informent en 2023’’.
‘’ La source d’information principale de la majorité (75,7%) des Ivoiriens reste la télévision. 97,5% d’entre eux suivent la télévision à l’aide d’un poste TV , avec une tendance majoritaire que nous observons chez les hommes, les plus jeunes et les plus nantis ‘’, a déclaré Lassina Traoré, Directeur Général du cabinet SIVES, poursuivant que '' l’utilisation de la presse digitale et l’internet vient en seconde position à hauteur de 73,7% , suivie de la radio 26,9%, les bouches à oreilles 20,9% et de la presse écrite 13,8%’’.
Selon M. Traoré, la population ivoirienne à 77% estime que les journalistes ivoiriens sont crédibles et pense à 66%, que la télévision est le média le plus crédible en Côte d’Ivoire .
Pour comprendre les raisons sur la dernière place qu’occupe la presse écrite en Côte d’Ivoire, il explique qu' en plus du manque d’instantanéité dans le traitement de l’information, 42% des lecteurs estime que les journaux sont plus tournés vers la politique au lieu de traiter des sujets qui minent la société.
À ce sujet, le Président de l’ANP , Samba Koné a indiqué qu’en 2023 toute la presse imprimée a réalisé un chiffre d’affaires 546 millions FCFA. Alors qu’en 2011, elle avait réalisé une vente de plus de 6 milliards FCFA. Pour M. Koné, ce sondage a été émis pour apporter des solutions aux problèmes qui minent la presse écrite en Côte d’Ivoire .
Pour le ministre de la Communication, Amadou Coulibaly, cette initiative de l’Autorité nationale de la presse (ANP) contribuera ‘’à la prise de décisions idoines pour l’assainissement et le rayonnement du secteur’’ et participera activement ‘’au processus démocratique de notre pays’’.
Il a relevé des points clés de l'enquête à savoir ''l’intérêt des ivoiriens pour l’actualité, le recul de la presse écrite imprimée et la montée en puissance des médias numériques'' tels que les réseaux sociaux et les sites d’information en ligne, le besoin d’un pluralisme de l’information pour garantir un accès à une diversité de sources afin que "nos compatriotes puissent se faire une opinion éclairée sur les questions importantes".
‘’ La source d’information principale de la majorité (75,7%) des Ivoiriens reste la télévision. 97,5% d’entre eux suivent la télévision à l’aide d’un poste TV , avec une tendance majoritaire que nous observons chez les hommes, les plus jeunes et les plus nantis ‘’, a déclaré Lassina Traoré, Directeur Général du cabinet SIVES, poursuivant que '' l’utilisation de la presse digitale et l’internet vient en seconde position à hauteur de 73,7% , suivie de la radio 26,9%, les bouches à oreilles 20,9% et de la presse écrite 13,8%’’.
Selon M. Traoré, la population ivoirienne à 77% estime que les journalistes ivoiriens sont crédibles et pense à 66%, que la télévision est le média le plus crédible en Côte d’Ivoire .
Pour comprendre les raisons sur la dernière place qu’occupe la presse écrite en Côte d’Ivoire, il explique qu' en plus du manque d’instantanéité dans le traitement de l’information, 42% des lecteurs estime que les journaux sont plus tournés vers la politique au lieu de traiter des sujets qui minent la société.
À ce sujet, le Président de l’ANP , Samba Koné a indiqué qu’en 2023 toute la presse imprimée a réalisé un chiffre d’affaires 546 millions FCFA. Alors qu’en 2011, elle avait réalisé une vente de plus de 6 milliards FCFA. Pour M. Koné, ce sondage a été émis pour apporter des solutions aux problèmes qui minent la presse écrite en Côte d’Ivoire .
Pour le ministre de la Communication, Amadou Coulibaly, cette initiative de l’Autorité nationale de la presse (ANP) contribuera ‘’à la prise de décisions idoines pour l’assainissement et le rayonnement du secteur’’ et participera activement ‘’au processus démocratique de notre pays’’.
Il a relevé des points clés de l'enquête à savoir ''l’intérêt des ivoiriens pour l’actualité, le recul de la presse écrite imprimée et la montée en puissance des médias numériques'' tels que les réseaux sociaux et les sites d’information en ligne, le besoin d’un pluralisme de l’information pour garantir un accès à une diversité de sources afin que "nos compatriotes puissent se faire une opinion éclairée sur les questions importantes".
AE/Top News Africa
Publié le jeudi 27 juin 2024