S’exprimant au nom du vice-président de la République, le ministre a révélé que le prix minimum est désormais fixé à 425 FCFA par kilogramme, contre 275 FCFA lors de la campagne précédente.
Selon le ministre, cette hausse de 54 %, décidée par le président de la République, Alassane Ouattara, représente un effort substantiel pour valoriser le travail des producteurs.
"Ce sacrifice permettra aux producteurs d'engranger un supplément de revenus de l'ordre de 173 milliards Francs CFA", a-t-il affirmé, en marge des journées des producteurs de coton et de l'anacarde ouvertes ce vendredi.
Au total, ce sont 489 milliards FCFA qui seront distribués aux producteurs au titre de la campagne 2025. Cette décision s’inscrit dans la volonté du chef de l’État de continuer à améliorer les conditions de vie des planteurs ivoiriens, un pilier essentiel de l’économie nationale.
Le ministre a également précisé que cette mesure vise à récompenser les efforts des producteurs pour une meilleure qualité des noix de cajou, en insistant sur l’importance d’un produit "bien séché et bien trié".
Cette annonce marque un tournant pour les quelque 400 000 producteurs de noix de cajou en Côte d’Ivoire, le pays étant le premier exportateur mondial de cette matière première.
Le gouvernement réaffirme ainsi son engagement à soutenir la filière anacarde, tout en poursuivant ses efforts pour renforcer la compétitivité du secteur au niveau international.
Selon le ministre, cette hausse de 54 %, décidée par le président de la République, Alassane Ouattara, représente un effort substantiel pour valoriser le travail des producteurs.
"Ce sacrifice permettra aux producteurs d'engranger un supplément de revenus de l'ordre de 173 milliards Francs CFA", a-t-il affirmé, en marge des journées des producteurs de coton et de l'anacarde ouvertes ce vendredi.
Au total, ce sont 489 milliards FCFA qui seront distribués aux producteurs au titre de la campagne 2025. Cette décision s’inscrit dans la volonté du chef de l’État de continuer à améliorer les conditions de vie des planteurs ivoiriens, un pilier essentiel de l’économie nationale.
Le ministre a également précisé que cette mesure vise à récompenser les efforts des producteurs pour une meilleure qualité des noix de cajou, en insistant sur l’importance d’un produit "bien séché et bien trié".
Cette annonce marque un tournant pour les quelque 400 000 producteurs de noix de cajou en Côte d’Ivoire, le pays étant le premier exportateur mondial de cette matière première.
Le gouvernement réaffirme ainsi son engagement à soutenir la filière anacarde, tout en poursuivant ses efforts pour renforcer la compétitivité du secteur au niveau international.
MD/Top News Africa
Publié le vendredi 17 janvier 2025