A l'occasion de la 34e édition de sa tribune, suivie par un journaliste de l'agence de presse Top News Africa, le PPA-CI a dénoncé une augmentation considérable de la dette publique, qui est passée de 6 000 milliards FCFA en 2011 à plus de 32 000 milliards de FCFA en 2024.
Selon le parti, cette situation compromet la viabilité économique du pays et plonge les citoyens dans une crise de pouvoir d’achat.
"La croissance économique ivoirienne repose essentiellement sur l’endettement. Entre 2012 et 2024, la dette a progressé de 307 %, tandis que le PIB nominal n’a cru que de 10,9 % en moyenne par an", a souligné Justin Koné Katinan, président du Conseil stratégique et politique du PPA-CI.
Le parti de Laurent Gbagbo critique également l'absence de politiques efficaces pour soutenir les secteurs clés comme l’agriculture, pointant du doigt la mauvaise gestion des structures comme le Conseil café-cacao et le Conseil coton-anacarde, qui, selon eux, ne garantissent pas des prix justes aux producteurs.
En plus des questions économiques, le PPA-CI exige la révision de la liste électorale en 2025, dénonçant un manque de transparence dans le processus électoral.
Selon le parti, la Commission électorale indépendante (CEI) et le RHDP s’opposent à cette mise à jour, en violation de l’ordonnance n° 2020-356 du 8 avril 2020, qui stipule que la liste électorale doit être tenue à jour annuellement.
"Le refus du président de la CEI de réviser la liste électorale en 2025 est une violation flagrante de la loi. Cela renforce le sentiment d’un processus biaisé en faveur du pouvoir en place", a dénoncé le conférencier.
Le PPA-CI appelle les forces de l’opposition à s’unir pour exiger une réforme du système électoral et une gestion plus transparente des finances publiques. Il insiste sur la nécessité d’un audit de la dette publique et de réformes économiques structurelles pour assurer un développement inclusif.
Alors que le président Laurent Gbagbo s’apprête à entamer une tournée dans plusieurs quartiers d’Abidjan à partir du 8 février, le parti promet de continuer son combat pour une gouvernance plus équitable et transparente.
Selon le parti, cette situation compromet la viabilité économique du pays et plonge les citoyens dans une crise de pouvoir d’achat.
"La croissance économique ivoirienne repose essentiellement sur l’endettement. Entre 2012 et 2024, la dette a progressé de 307 %, tandis que le PIB nominal n’a cru que de 10,9 % en moyenne par an", a souligné Justin Koné Katinan, président du Conseil stratégique et politique du PPA-CI.
Le parti de Laurent Gbagbo critique également l'absence de politiques efficaces pour soutenir les secteurs clés comme l’agriculture, pointant du doigt la mauvaise gestion des structures comme le Conseil café-cacao et le Conseil coton-anacarde, qui, selon eux, ne garantissent pas des prix justes aux producteurs.
En plus des questions économiques, le PPA-CI exige la révision de la liste électorale en 2025, dénonçant un manque de transparence dans le processus électoral.
Selon le parti, la Commission électorale indépendante (CEI) et le RHDP s’opposent à cette mise à jour, en violation de l’ordonnance n° 2020-356 du 8 avril 2020, qui stipule que la liste électorale doit être tenue à jour annuellement.
"Le refus du président de la CEI de réviser la liste électorale en 2025 est une violation flagrante de la loi. Cela renforce le sentiment d’un processus biaisé en faveur du pouvoir en place", a dénoncé le conférencier.
Le PPA-CI appelle les forces de l’opposition à s’unir pour exiger une réforme du système électoral et une gestion plus transparente des finances publiques. Il insiste sur la nécessité d’un audit de la dette publique et de réformes économiques structurelles pour assurer un développement inclusif.
Alors que le président Laurent Gbagbo s’apprête à entamer une tournée dans plusieurs quartiers d’Abidjan à partir du 8 février, le parti promet de continuer son combat pour une gouvernance plus équitable et transparente.
MD/Top News Africa
Publié le jeudi 6 février 2025