Face à ces préoccupations, le gouvernement ivoirien assure qu’il ne s’agit que d’une démarche de transparence et d’organisation du secteur associatif.
‘’Il faut qu’on apprenne à être conséquent. On ne peut appeler partout à la transparence et en même temps avoir peur de la transparence’’, a déclaré Amadou Coulibaly, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, lors du compte-rendu du Conseil des ministres de ce mercredi, suivi par un journaliste de l’agence de presse Top News Africa.
Le gouvernement souligne que cette loi s’inscrit dans un cadre global de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
‘’Il n’y a aucune intrusion de l’Exécutif. L’Exécutif a le droit et c’est aussi cela ses droits régaliens, de vérifier le fonctionnement de toutes les associations et de toutes les structures qui opèrent dans notre pays’’, a précisé le ministre.
Concernant les organisations non gouvernementales (ONG), la nouvelle loi vise à instaurer plus de transparence dans leur gestion financière. ‘’Si elles n’ont rien à se reprocher, il n’y a pas de raison qu’elles refusent de présenter leurs comptes’’, a ajouté Amadou Coulibaly.
Le gouvernement rappelle que la Côte d’Ivoire est un État laïc, garantissant à chacun la liberté d’exercer la religion de son choix, tout en maintenant une position équidistante vis-à-vis des différentes confessions.
‘’Cette loi ne vise pas particulièrement un type d’ONG, elle concerne toutes les organisations et vise à assurer un meilleur contrôle et une meilleure organisation du secteur’’, a insisté le porte-parole du gouvernement.
La loi, qui encadre désormais l’activité des associations, devrait être suivie de textes d’application précisant les modalités de mise en œuvre. Elle abroge surtout les dispositions en vigueur depuis l’indépendance du pays.
‘’Il faut qu’on apprenne à être conséquent. On ne peut appeler partout à la transparence et en même temps avoir peur de la transparence’’, a déclaré Amadou Coulibaly, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, lors du compte-rendu du Conseil des ministres de ce mercredi, suivi par un journaliste de l’agence de presse Top News Africa.
Le gouvernement souligne que cette loi s’inscrit dans un cadre global de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
‘’Il n’y a aucune intrusion de l’Exécutif. L’Exécutif a le droit et c’est aussi cela ses droits régaliens, de vérifier le fonctionnement de toutes les associations et de toutes les structures qui opèrent dans notre pays’’, a précisé le ministre.
Concernant les organisations non gouvernementales (ONG), la nouvelle loi vise à instaurer plus de transparence dans leur gestion financière. ‘’Si elles n’ont rien à se reprocher, il n’y a pas de raison qu’elles refusent de présenter leurs comptes’’, a ajouté Amadou Coulibaly.
Le gouvernement rappelle que la Côte d’Ivoire est un État laïc, garantissant à chacun la liberté d’exercer la religion de son choix, tout en maintenant une position équidistante vis-à-vis des différentes confessions.
‘’Cette loi ne vise pas particulièrement un type d’ONG, elle concerne toutes les organisations et vise à assurer un meilleur contrôle et une meilleure organisation du secteur’’, a insisté le porte-parole du gouvernement.
La loi, qui encadre désormais l’activité des associations, devrait être suivie de textes d’application précisant les modalités de mise en œuvre. Elle abroge surtout les dispositions en vigueur depuis l’indépendance du pays.
MD/Top News Africa
Publié le mercredi 12 mars 2025