En direct ce mardi 14 mai 2024 sur la plateforme numérique Méta du ministère de la Santé de l'Hygiène publique et de la Couverture Maladie universelle, Dr Kroa Ehoulé a donné les raisons de l'interdiction de ces stimulants censés lutter contre les troubles de l’érection.
Selon lui, lesdits produits aphrodisiaques dont la production et la commercialisation ont été interdites sur le territoire ivoirien. ''La médecine traditionnelle n'autorise pas la fabrication de médicaments à base de produits chimiques'', a-t-il dit.
Or pour la fabrication de "Attoté" ou "Kognonmousso Yako", les praticiens font intervenir des produits chimiques, ce qui est contraire aux principes de la médecine traditionnelle car les molécules chimiques mal contrôlés finiront par avoir des effets secondaires sur la santé des patients.
"Nous interpellons les uns et les autres à ne pas utiliser ces médicaments aphrodisiaques qui présentent assez de risques et sont impropres à la consommation", a-t-il dit, avant d'ajouter que ''pour ces produits évoqués la suspension de la production et la vente demeurent jusqu'à nouvel ordre''.
Pour le premier responsable de la médecine traditionnelle en Côte d'Ivoire, tous les praticiens doivent soumettre leurs produits pour analyse à l'Autorité ivoirienne de régulation pharmaceutique (AIRP) avant la commercialisation sur le marché sur le territoire national.
Par ailleurs, Dr Krao encourage les praticiens à venir se faire suivre et se former. Quant aux populations, il les invite à se tourner vers d'autres produits traditionnels qui ne contiennent pas de substances chimiques dans la fabrication.
Selon lui, lesdits produits aphrodisiaques dont la production et la commercialisation ont été interdites sur le territoire ivoirien. ''La médecine traditionnelle n'autorise pas la fabrication de médicaments à base de produits chimiques'', a-t-il dit.
Or pour la fabrication de "Attoté" ou "Kognonmousso Yako", les praticiens font intervenir des produits chimiques, ce qui est contraire aux principes de la médecine traditionnelle car les molécules chimiques mal contrôlés finiront par avoir des effets secondaires sur la santé des patients.
"Nous interpellons les uns et les autres à ne pas utiliser ces médicaments aphrodisiaques qui présentent assez de risques et sont impropres à la consommation", a-t-il dit, avant d'ajouter que ''pour ces produits évoqués la suspension de la production et la vente demeurent jusqu'à nouvel ordre''.
Pour le premier responsable de la médecine traditionnelle en Côte d'Ivoire, tous les praticiens doivent soumettre leurs produits pour analyse à l'Autorité ivoirienne de régulation pharmaceutique (AIRP) avant la commercialisation sur le marché sur le territoire national.
Par ailleurs, Dr Krao encourage les praticiens à venir se faire suivre et se former. Quant aux populations, il les invite à se tourner vers d'autres produits traditionnels qui ne contiennent pas de substances chimiques dans la fabrication.
HS/Top News Africa
Publié le mardi 14 mai 2024