Les agents municipaux dénoncent la non satisfaction de plusieurs mesures sociales, notamment, ''la prime de logement, la prime de transport et l’indemnité de départ à la retraite'' basée sur l’ancienne formule, a énuméré Daouda Diabaté, agent municipal rencontré devant le portail de la mairie centrale de Yopougon (Ouest d'Abidjan) hermétiquement fermé.
Selon lui, les mesures sociales annoncées par le chef de l'Etat, Alassane Ouattara, n'ont pas été respectées pourtant, "on nous avait promis qu'avant la fin du mois de décembre 2024, tout serait régularisé. Nous sommes presqu' à la fin de janvier 2025, on ne voit rien. C'est pourquoi nous entamons ce mouvement après l'avoir suspendu en novembre", relate -t-il.
Concernant la prime de transport par exemple, selon ces mesures, elle devrait être revalorisée à hauteur de 5000 FCFA pour le District d'Abidjan et 3000F pour les autres collectivités territoriales, a expliqué M. Diabaté.
Dans les deux mairies annexes de Yopougon (Niangon) et (Toits Rouges), le constat est identique. "Grève", peut-on lire sur les portails fermés de ces mairies secondaires de la plus grande commune du pays.
Dans plusieurs communes d'Abidjan, les bureaux de la mairie sont vides. " Les agents ne sont pas à leur poste. Donc les services de la mairie ne fonctionnent pas", souligne Pascal N'da, un habitant de Port-Bouët ( Sud d'Abidjan) joint au téléphone.
Selon un maire d'une commune du centre, ''le mouvement n'est pas isolé. Il concerne toutes les mairies du pays", a-t-il admis, déplorant les nombreux désagréments causés aux usagers de ces collectivités territoriales.
Selon lui, les mesures sociales annoncées par le chef de l'Etat, Alassane Ouattara, n'ont pas été respectées pourtant, "on nous avait promis qu'avant la fin du mois de décembre 2024, tout serait régularisé. Nous sommes presqu' à la fin de janvier 2025, on ne voit rien. C'est pourquoi nous entamons ce mouvement après l'avoir suspendu en novembre", relate -t-il.
Concernant la prime de transport par exemple, selon ces mesures, elle devrait être revalorisée à hauteur de 5000 FCFA pour le District d'Abidjan et 3000F pour les autres collectivités territoriales, a expliqué M. Diabaté.
Dans les deux mairies annexes de Yopougon (Niangon) et (Toits Rouges), le constat est identique. "Grève", peut-on lire sur les portails fermés de ces mairies secondaires de la plus grande commune du pays.
Dans plusieurs communes d'Abidjan, les bureaux de la mairie sont vides. " Les agents ne sont pas à leur poste. Donc les services de la mairie ne fonctionnent pas", souligne Pascal N'da, un habitant de Port-Bouët ( Sud d'Abidjan) joint au téléphone.
Selon un maire d'une commune du centre, ''le mouvement n'est pas isolé. Il concerne toutes les mairies du pays", a-t-il admis, déplorant les nombreux désagréments causés aux usagers de ces collectivités territoriales.
HS/ Top News Africa
Publié le jeudi 30 janvier 2025