Les Sénégalais sont appelés aux urnes le dimanche 17 novembre 2024 pour des élections législatives. C’est la suite logique du rejet, le 31 août 2024, du projet de modification de la Constitution déposé devant l’Assemblée nationale, encore dominée par l’ancien parti au pouvoir, par la commission des lois.
Cette révision demandée par le chef de l’État sénégalais Bassirou Diomaye Faye visait la suppression du Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct) et du Conseil économique, social et environnemental.
Elu en avril dès le premier tour, M. Faye s'est exprimé au sujet la situation politique délicate dans laquelle il se trouve, avec un Parlement dominé par l'opposition, à commencer par le camp de son prédécesseur, Macky Sall.
L'actuel chef de l'État du Sénégal a donc tranché. Selon les règles du Conseil constitutionnel, Bassirou Diomaye Faye devait attendre deux ans de législature pour pouvoir dissoudre l'Assemblée nationale. Ce cap a été franchi ce 12 septembre, et le président de la République a ainsi annoncé cette dissolution dans son message à la nation.
Cette révision demandée par le chef de l’État sénégalais Bassirou Diomaye Faye visait la suppression du Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct) et du Conseil économique, social et environnemental.
Elu en avril dès le premier tour, M. Faye s'est exprimé au sujet la situation politique délicate dans laquelle il se trouve, avec un Parlement dominé par l'opposition, à commencer par le camp de son prédécesseur, Macky Sall.
L'actuel chef de l'État du Sénégal a donc tranché. Selon les règles du Conseil constitutionnel, Bassirou Diomaye Faye devait attendre deux ans de législature pour pouvoir dissoudre l'Assemblée nationale. Ce cap a été franchi ce 12 septembre, et le président de la République a ainsi annoncé cette dissolution dans son message à la nation.
MD/Top News Africa
Publié le jeudi 12 septembre 2024