Dans son introduction de l’atelier, Lassina Sermé, Président du Réseau des Professionnels de la Presse en Ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI) a expliqué aux participants que le projet IMPACT est mis en œuvre en Guinée et en Côte d’Ivoire par cinq organisations composées de deux structures françaises, Avocats Sans Frontières France (ASF France) et Danaïdes, d’une plateforme panafricaine, AfricTivistes et deux associations nationales que sont l’Association des Blogueurs de Guinée (ABLOGUI) et le REPPRELCI.
‘’ Cette activité vise à former les acteurs médiatiques qui couvrent les questions de conflits sur la couverture éthique, responsable et équilibrée des conflits, afin d’assurer une meilleure prévention des conflits et préserver la cohésion sociale. ’’, a-t-il souligné, exhortant les participants à une assiduité accrue pour tirer profit de la formation qui sera assurée par ‘’trois experts, notamment, Mme Stéphanie Lamy de Danaïdes, MM. Abdoulaye Guene et Sally Bilaly Sow d’AfricTivistes’’.
Cet atelier mobilise 40 participants scindés en deux groupes. Les travaux du premier groupe sont prévus du lundi 16 au mardi 17 janvier 2023, quand ceux du deuxième groupe se dérouleront du jeudi 19 au vendredi 20 janvier 2023.
Cet atelier mobilise 40 participants scindés en deux groupes. Les travaux du premier groupe sont prévus du lundi 16 au mardi 17 janvier 2023, quand ceux du deuxième groupe se dérouleront du jeudi 19 au vendredi 20 janvier 2023.
Pour sa part, Stéphanie Lamy a indiqué que le projet qui a une durée de 24 mois et financé par la Délégation de l’Union Européenne à travers l’instrument contribuant à la stabilité et à la paix (IcSP), a pour objectif de renforcer les capacités des journalistes afin de faire face à la multiplication des fake news et des messages haineux qui divisent la population et créent des tensions.
Pendant deux jours, les formations s’orienteront plus précisément autour de deux thématiques avec deux sessions que sont l’investigation et le rapportage des violences et violations des droits liées aux conflits (comment les documenter, les analyser, les traiter, etc.). A l’issue de la formation, les participants seront en mesure de surveiller, documenter et couvrir les conflits de manière équilibrée et responsable pour assurer une meilleure prévention des conflits, précise-t-on.
L’atelier comportera des modules en tronc commun, des travaux de groupe et des plénières pour la restitution des réflexions de groupe. A l’issue de la formation, les participants seront en mesure de surveiller, documenter et couvrir les conflits de manière équilibrée et responsable pour assurer une meilleure prévention des conflits.
Ce sont au total, 160 journalistes et défenseurs des droits humains identifiés au préalable par le REPPRELCI et ABLOGUI qui seront au nombre des participants répartis sur 20 par session de formation soit 80 personnes pour les formations à la thématique 1 et 80 pour la thématique 2.
HS/ls/Top News Africa
Publié le lundi 16 janvier 2023