"Je suis persuadé que nous devons continuer d'agir dans la solidarité au sein de l'espace Cédéao, de faire les réformes nécessaires et d'œuvrer à dissiper les incompréhensions qui ne peuvent manquer de survenir", a déclaré Bassirou Diomaye Faye lors face à la presse à sa sortie d’audience ajoutant que la Cédéao "est un outil formidable d'intégration" que "nous gagnerons à préserver".
Selon M. Diomaye Faye, "nous sommes à un tournant où nous devons mesurer la gravité des menaces réelles et la déliquescence des Etats, de même que le risque de désintégration de notre union", a-t-il poursuivi.
En janvier, le Burkina Faso, le Niger et le Mali, trois pays dirigés par des régimes militaires avaient annoncé leur retrait de la Cédéao accusée d'être inféodée à la France et de ne les soutenir dans la lutte anti-djihadiste.
Selon M. Diomaye Faye, "nous sommes à un tournant où nous devons mesurer la gravité des menaces réelles et la déliquescence des Etats, de même que le risque de désintégration de notre union", a-t-il poursuivi.
En janvier, le Burkina Faso, le Niger et le Mali, trois pays dirigés par des régimes militaires avaient annoncé leur retrait de la Cédéao accusée d'être inféodée à la France et de ne les soutenir dans la lutte anti-djihadiste.
HS/Top News Africa
Publié le mardi 7 mai 2024