Selon l'IPC 2023, publié le 30 janvier 2024 et consulté par l’agence de presse Top News Africa ce vendredi 2 février 2024, la Côte d'Ivoire gagne, en un an, 3 points et 12 places. Soit un score de 40 sur 100 avec un rang de 87è sur 180 pays en 2023, contre un score de 37 sur 100 avec un rang de 99è sur 180 pays en 2022.
Les autorités ivoiriennes qui saluent ce résultat indiquent que cette performance est le résultat des reformes juridiques et institutionnelles mises en œuvre depuis plus d’une décennie et des actions entreprises en matière de dénonciation et de répression des actes de corruption.
Entre autres actions menées, il y a la création du Pôle Pénal Economique et Financier (PPEF), la création de l'Agence de Recouvrement et de Gestion des Avoirs Criminels (AGRAC) ainsi que la mise en place de plateformes de signalement, de dénonciation des actes de corruption et infractions assimilées à savoir Spacia et Signalis .
Au niveau des actes de répression et de sanctions, il faut souligner l'application de la loi relative à la déclaration du patrimoine des personnes assujetties, les poursuites judiciaires et les sanctions administratives prises à l'encontre des agents et hauts cadres de l'administration publique ayant été reconnus coupables d'actes de corruption.
Toutefois, malgré ces résultats encourageants, la Côte d'Ivoire entend poursuivre ses efforts pour relever les défis auxquels elle est encore confrontée en matière de lutte contre la corruption car c'est un fléau qui inhibe les efforts de développement du Gouvernement et entrave le bon fonctionnement des institutions.
C'est pourquoi, à travers la Haute autorité de la bonne gouvernance (HABG), la Côte d’Ivoire va mobiliser tous les moyens pour lutter efficacement contre ce fléau et franchir la barre de 50/100 de l'IPC d'ici 2026 soit un gain projeté de 3 points par an.
Les autorités ivoiriennes qui saluent ce résultat indiquent que cette performance est le résultat des reformes juridiques et institutionnelles mises en œuvre depuis plus d’une décennie et des actions entreprises en matière de dénonciation et de répression des actes de corruption.
Entre autres actions menées, il y a la création du Pôle Pénal Economique et Financier (PPEF), la création de l'Agence de Recouvrement et de Gestion des Avoirs Criminels (AGRAC) ainsi que la mise en place de plateformes de signalement, de dénonciation des actes de corruption et infractions assimilées à savoir Spacia et Signalis .
Au niveau des actes de répression et de sanctions, il faut souligner l'application de la loi relative à la déclaration du patrimoine des personnes assujetties, les poursuites judiciaires et les sanctions administratives prises à l'encontre des agents et hauts cadres de l'administration publique ayant été reconnus coupables d'actes de corruption.
Toutefois, malgré ces résultats encourageants, la Côte d'Ivoire entend poursuivre ses efforts pour relever les défis auxquels elle est encore confrontée en matière de lutte contre la corruption car c'est un fléau qui inhibe les efforts de développement du Gouvernement et entrave le bon fonctionnement des institutions.
C'est pourquoi, à travers la Haute autorité de la bonne gouvernance (HABG), la Côte d’Ivoire va mobiliser tous les moyens pour lutter efficacement contre ce fléau et franchir la barre de 50/100 de l'IPC d'ici 2026 soit un gain projeté de 3 points par an.
DNG/hs/Top News Africa
Publié le vendredi 2 février 2024