Cet atelier auquel prennent part quelque quarante hauts représentants des comités interministériels des Etats membres du GIABA fait suite aux recommandations 2 du groupe d’actions financières (GAFI) sur les LBT/FTP qui exigent des Etats membres des politiques nationales de lutte.
Selon le Colonel-major Idrissa Touré, Correspondant national, le présent atelier vise à renforcer la capacité des participants à ‘’demeurer le sommet au niveau des politiques et de la coordination dans la lutte contre le blanchiment d’argent, le financement des activités terroristes et la prolifération du financement’’.
Il permettra également, aux dires du Directeur général du GIABA, Edwin Harris Jr, de doter les comités nationaux des outils pour les évaluations nationales des risques et la conduite d’évaluation mutuelle, soulignant que son institution continuera à fournir l’assistance aux Etats membres quoiqu’il déplore que ‘’les pays sont à la traîne quand il s’agit des poursuites des enquêtes’’.
Représentant le ministre ivoirien de l’Economie et des finances Adama Coulibaly, son Directeur de cabinet adjoint, Kassonko Bamba, a indiqué que depuis sa création en 2014, le gouvernement ivoirien n’a ménagé aucun effort pour permettre au Comité national de mener les actions nécessaires pour promouvoir les mesures idoines en vue de faire face aux phénomènes de blanchiment des capitaux et de financement du terrorisme.
Un document de stratégie nationale a été élaboré et adopté en juillet 2021 par le gouvernement afin de mitiger les risques relevés par l’évaluation nationale des risques, a-t-il ajouté.
Le GIABA, établi en 2000, est une institution spécialisée de la CEDEAO, chargée du renforcement des capacités des États membres dans la prévention et la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme dans la région.
Outre les Etats membres, le GIABA octroie le statut d’Observateur à des Etats africains et non-africains et à des organisations intergouvernementales qui soutiennent ses objectifs et ses actions et qui ont sollicité le statut d'Observateur.
Selon le Colonel-major Idrissa Touré, Correspondant national, le présent atelier vise à renforcer la capacité des participants à ‘’demeurer le sommet au niveau des politiques et de la coordination dans la lutte contre le blanchiment d’argent, le financement des activités terroristes et la prolifération du financement’’.
Il permettra également, aux dires du Directeur général du GIABA, Edwin Harris Jr, de doter les comités nationaux des outils pour les évaluations nationales des risques et la conduite d’évaluation mutuelle, soulignant que son institution continuera à fournir l’assistance aux Etats membres quoiqu’il déplore que ‘’les pays sont à la traîne quand il s’agit des poursuites des enquêtes’’.
Représentant le ministre ivoirien de l’Economie et des finances Adama Coulibaly, son Directeur de cabinet adjoint, Kassonko Bamba, a indiqué que depuis sa création en 2014, le gouvernement ivoirien n’a ménagé aucun effort pour permettre au Comité national de mener les actions nécessaires pour promouvoir les mesures idoines en vue de faire face aux phénomènes de blanchiment des capitaux et de financement du terrorisme.
Un document de stratégie nationale a été élaboré et adopté en juillet 2021 par le gouvernement afin de mitiger les risques relevés par l’évaluation nationale des risques, a-t-il ajouté.
Le GIABA, établi en 2000, est une institution spécialisée de la CEDEAO, chargée du renforcement des capacités des États membres dans la prévention et la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme dans la région.
Outre les Etats membres, le GIABA octroie le statut d’Observateur à des Etats africains et non-africains et à des organisations intergouvernementales qui soutiennent ses objectifs et ses actions et qui ont sollicité le statut d'Observateur.
HS/ls/Top News Africa
Publié le mercredi 12 avril 2023