Amadou Coulibaly, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement ivoirien, a été interrogé, ce mercredi 8 janvier 2024, en marge du Conseil des ministres.
‘’Nous n’avons aucun commentaire à faire sur les propos du président Macron. Le chef de l’État a été assez clair sur les conditions dans lesquelles le camp du 43e BIMA nous a été rétrocédé, il n’y a aucune ambiguïté là-dessus'’, a-t-il déclaré au cours d’un point-presse.
Cette réaction intervient après des déclarations du président français, qui avait évoqué la nécessité pour certains pays africains d’être "reconnaissants" envers la France.
Sans faire directement référence à la Côte d’Ivoire, Emmanuel Macron avait défendu le rôle historique de la France dans plusieurs pays du continent.
Pour le gouvernement ivoirien, ces propos ne semblent pas concerner directement la Côte d’Ivoire. ‘’Je ne me souviens pas que la France ait mené de combat pour la Côte d’Ivoire. Nous ne sommes donc pas particulièrement concernés par ces propos-là’’, a ajouté M. Amadou Coulibaly.
Le porte-parole a également rappelé que la rétrocession du camp militaire du 43e BIMA à la Côte d’Ivoire, est le fruit de longues négociations, inscrites dans un cadre de coopération bilatérale.
‘’Le terme rétrocession est assez clair. Cela veut dire que le camp revient à la Côte d’Ivoire. En ce qui concerne la rétrocession du camp, c’est un vieux processus, commencé depuis longtemps. Il n’y a pas meilleure preuve que la rétrocession pour signifier que le camp appartient désormais à la Côte d’Ivoire’’, a-t-il indiqué.
Cette clarification vient après une déclaration du président ivoirien Alassane Ouattara, qui avait lui-même souligné la transparence de cette transition.
La Côte d’Ivoire a réitéré son souhait de maintenir des relations cordiales avec la France. ‘’Nous avons des relations anciennes avec la France, avec laquelle nous avons toujours eu de bonnes relations’’, a conclu Amadou Coulibaly.
‘’Nous n’avons aucun commentaire à faire sur les propos du président Macron. Le chef de l’État a été assez clair sur les conditions dans lesquelles le camp du 43e BIMA nous a été rétrocédé, il n’y a aucune ambiguïté là-dessus'’, a-t-il déclaré au cours d’un point-presse.
Cette réaction intervient après des déclarations du président français, qui avait évoqué la nécessité pour certains pays africains d’être "reconnaissants" envers la France.
Sans faire directement référence à la Côte d’Ivoire, Emmanuel Macron avait défendu le rôle historique de la France dans plusieurs pays du continent.
Pour le gouvernement ivoirien, ces propos ne semblent pas concerner directement la Côte d’Ivoire. ‘’Je ne me souviens pas que la France ait mené de combat pour la Côte d’Ivoire. Nous ne sommes donc pas particulièrement concernés par ces propos-là’’, a ajouté M. Amadou Coulibaly.
Le porte-parole a également rappelé que la rétrocession du camp militaire du 43e BIMA à la Côte d’Ivoire, est le fruit de longues négociations, inscrites dans un cadre de coopération bilatérale.
‘’Le terme rétrocession est assez clair. Cela veut dire que le camp revient à la Côte d’Ivoire. En ce qui concerne la rétrocession du camp, c’est un vieux processus, commencé depuis longtemps. Il n’y a pas meilleure preuve que la rétrocession pour signifier que le camp appartient désormais à la Côte d’Ivoire’’, a-t-il indiqué.
Cette clarification vient après une déclaration du président ivoirien Alassane Ouattara, qui avait lui-même souligné la transparence de cette transition.
La Côte d’Ivoire a réitéré son souhait de maintenir des relations cordiales avec la France. ‘’Nous avons des relations anciennes avec la France, avec laquelle nous avons toujours eu de bonnes relations’’, a conclu Amadou Coulibaly.
MD/Top News Africa
Publié le mercredi 8 janvier 2025