Selon Dr Sidibé Daouda, Directeur des Œuvres Universitaires, de la Vie associative et du Genre (DOUVAG) au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique l’opération va s’étendre sur toute l’étendue du territoire national et durera toute la durée qu’il va falloir pour traiter toutes les cités universitaires. A la fin, toutes les statistiques seront communiquées’’, a-t-il indiqué.
De fait, pour cette première étape, ce sont les sites du campus ancien, campus INSET, campus 2000 A et B et campus 2000 -1B qui ont été visités et déguerpis de leurs occupants illégaux. Les quatre bâtiments du campus 2000 -1A seront passés au peigne fin ce dimanche 6 octobre avant que l’opération ne s’étende aux cités périphériques, notamment, les cités Mermoz, Rouge et de la Riviera 2.
Outre les chambres vidées de leurs occupants illégaux, les sites illégalement occupés sur le Campus ont également été détruits. Il s’agit, entre autres des marchés construits sans autorisation ainsi que deux fumoirs.
Le siège en construction de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) a, également, été détruit au cours de cette opération saluée par les étudiants, régulièrement, logés.
Le mercredi 2 octobre, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique demandait, dans un communiqué, ‘’aux étudiants occupant les chambres des cités universitaires des différents CROU de façon illégale, de libérer lesdites chambres en emportant tous leurs effets personnels dès ce mercredi 2 octobre 2024’’.
Cette décision gouvernementale intervient au lendemain de l’annonce de la mort d’un étudiant, à Cocody. Avant cet appel aux occupants illégaux des résidences universitaires à libérer les chambres, le gouvernement avait décidé dans la même journée du mercredi 2 octobre 2024, d’interdire à ‘’titre conservatoire’’ les activités des organisations syndicales dans les universités ivoiriennes.
Le lundi 30 septembre, quelques heures avant l’annonce de la découverte du corps sans vie de l’étudiant Agui Mars Aubin Déagoué présentant ‘’des traces de violences physiques’’, selon le communiqué du procureur de la République, Oumar Braman Koné, six membres de la FESCI, ont été interpellés.
Parmi ces étudiants mis aux arrêts, figure le secrétaire général du mouvement estudiantin, Sié Kambou, soupçonné d’être impliqué dans l’assassinat présumé de l’étudiant Agui Mars Aubin Déagoué.
De fait, pour cette première étape, ce sont les sites du campus ancien, campus INSET, campus 2000 A et B et campus 2000 -1B qui ont été visités et déguerpis de leurs occupants illégaux. Les quatre bâtiments du campus 2000 -1A seront passés au peigne fin ce dimanche 6 octobre avant que l’opération ne s’étende aux cités périphériques, notamment, les cités Mermoz, Rouge et de la Riviera 2.
Outre les chambres vidées de leurs occupants illégaux, les sites illégalement occupés sur le Campus ont également été détruits. Il s’agit, entre autres des marchés construits sans autorisation ainsi que deux fumoirs.
Le siège en construction de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) a, également, été détruit au cours de cette opération saluée par les étudiants, régulièrement, logés.
Le mercredi 2 octobre, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique demandait, dans un communiqué, ‘’aux étudiants occupant les chambres des cités universitaires des différents CROU de façon illégale, de libérer lesdites chambres en emportant tous leurs effets personnels dès ce mercredi 2 octobre 2024’’.
Cette décision gouvernementale intervient au lendemain de l’annonce de la mort d’un étudiant, à Cocody. Avant cet appel aux occupants illégaux des résidences universitaires à libérer les chambres, le gouvernement avait décidé dans la même journée du mercredi 2 octobre 2024, d’interdire à ‘’titre conservatoire’’ les activités des organisations syndicales dans les universités ivoiriennes.
Le lundi 30 septembre, quelques heures avant l’annonce de la découverte du corps sans vie de l’étudiant Agui Mars Aubin Déagoué présentant ‘’des traces de violences physiques’’, selon le communiqué du procureur de la République, Oumar Braman Koné, six membres de la FESCI, ont été interpellés.
Parmi ces étudiants mis aux arrêts, figure le secrétaire général du mouvement estudiantin, Sié Kambou, soupçonné d’être impliqué dans l’assassinat présumé de l’étudiant Agui Mars Aubin Déagoué.
HS/Top News Africa
Publié le dimanche 6 octobre 2024