Pendant ce temps, plusieurs médias citant des sources participantes à la réunion, évoquent une rencontre ‘’difficultueuse’’ où le consensus n’a pas été fait au sein du CPS. Selon ces sources citées par RFI, ‘’les textes de l’Union ne correspondent plus à la réalité’’. Ce qui rend encore plus difficiles les sessions du Conseil sécurité et paix.
A en croire ces mêmes sources, les pays d'Afrique australe, d’Afrique du Nord et d’Afrique centrale, ont clairement, exprimé leur désaccord sur une intervention militaire au Niger comme le préconise la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao). Depuis, c’est le silence radio sur le communiqué du CPS. Jusqu’à quand ?
Pourtant, trois jours après le putsch au Niger, le CPS de l'Union africaine avait été prompt à exiger ‘’des militaires le retour immédiat et sans condition dans leurs casernes" et le rétablissement de Mohamed Bazoum, le président déchu le 26 juillet 2023, dans ses fonctions "dans un délai maximum de quinze jours ".
L’ultimatum a expiré depuis le 12 août. Et tout le monde tourne en rond. La réunion des grands commandements militaires de l’Organisation sous régionale prévue pour le 12 août a été reportée à ce jeudi au Ghana pour discuter des modalités d'une éventuelle intervention armée au Niger à l’effet de rétablir le président Bazoum dans ses fonctions.
Pour l’heure, rien n’a filtré des discussions entre les chefs d’Etat-major des armées de la Cédéao. Encore moins un communiqué.
A en croire ces mêmes sources, les pays d'Afrique australe, d’Afrique du Nord et d’Afrique centrale, ont clairement, exprimé leur désaccord sur une intervention militaire au Niger comme le préconise la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao). Depuis, c’est le silence radio sur le communiqué du CPS. Jusqu’à quand ?
Pourtant, trois jours après le putsch au Niger, le CPS de l'Union africaine avait été prompt à exiger ‘’des militaires le retour immédiat et sans condition dans leurs casernes" et le rétablissement de Mohamed Bazoum, le président déchu le 26 juillet 2023, dans ses fonctions "dans un délai maximum de quinze jours ".
L’ultimatum a expiré depuis le 12 août. Et tout le monde tourne en rond. La réunion des grands commandements militaires de l’Organisation sous régionale prévue pour le 12 août a été reportée à ce jeudi au Ghana pour discuter des modalités d'une éventuelle intervention armée au Niger à l’effet de rétablir le président Bazoum dans ses fonctions.
Pour l’heure, rien n’a filtré des discussions entre les chefs d’Etat-major des armées de la Cédéao. Encore moins un communiqué.
HS/Top News Africa
Publié le jeudi 17 août 2023