C'est la révélation faite par Minatou Fanta Coulibaly épouse Koné, Directeur de Cabinet, représentant le ministre de l'Economie et des finances à l'ouverture, lundi, de la 9è Assemblée générale annuelle du Réseau inter-agences de recouvrement des avoirs pour l'Afrique de l'Ouest (Arinwa).
"La seule sous-région de l'Afrique de l'ouest sur laquelle se concentre ce rapport, verrait ainsi lui échapper 50 milliards de dollars US, tous les ans, selon ses estimations", a précisé Mme Koné.
Elle a fait remarquer que "ce sont autant de ressources financières qui auraient pu servir au financement des politiques de développement de nos pays", saluant la tenue des assises d'Arinwa qui répond à "cette exigence de synergie d'actions entre toutes les parties prenantes en vue de définir les orientations pour un système coordonné, efficace et opérationnel".
Aussi, a soutenu la représentante du ministre de l'Economie et des finances, Adama Coulibaly, les conclusions des travaux sont très attendues eu égard "aux objectifs du Réseau dans un contexte mondial (...) qui requiert plus d'adaptation face aux enjeux de la lutte contre la criminalité financière".
Avant elle, Kadiatou Ly Sangaré, Secrétaire permanente d'Arinwa, Cheick Touré, Chef de bureau à l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (Onudc) et Mme Killy Fernandes, présidente d'Arinwa, ont, tour à tour, situé l'importance de ces assises d'Abidjan qui prendront fin le 9 décembre.
Cette assemblée qui réunit l’ensemble des points focaux des 16 Etats membres, les Partenaires techniques et financiers (...) autour du thème " mise en place et opérationnalisation d’un organe de recouvrement des avoirs dans les Etats membres" est pour l'Arinwa, l'occasion de dresser le bilan de ses activités de l’année écoulée et fixer les perspectives de l'exercice 2022-2023.
"La seule sous-région de l'Afrique de l'ouest sur laquelle se concentre ce rapport, verrait ainsi lui échapper 50 milliards de dollars US, tous les ans, selon ses estimations", a précisé Mme Koné.
Elle a fait remarquer que "ce sont autant de ressources financières qui auraient pu servir au financement des politiques de développement de nos pays", saluant la tenue des assises d'Arinwa qui répond à "cette exigence de synergie d'actions entre toutes les parties prenantes en vue de définir les orientations pour un système coordonné, efficace et opérationnel".
Aussi, a soutenu la représentante du ministre de l'Economie et des finances, Adama Coulibaly, les conclusions des travaux sont très attendues eu égard "aux objectifs du Réseau dans un contexte mondial (...) qui requiert plus d'adaptation face aux enjeux de la lutte contre la criminalité financière".
Avant elle, Kadiatou Ly Sangaré, Secrétaire permanente d'Arinwa, Cheick Touré, Chef de bureau à l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (Onudc) et Mme Killy Fernandes, présidente d'Arinwa, ont, tour à tour, situé l'importance de ces assises d'Abidjan qui prendront fin le 9 décembre.
Cette assemblée qui réunit l’ensemble des points focaux des 16 Etats membres, les Partenaires techniques et financiers (...) autour du thème " mise en place et opérationnalisation d’un organe de recouvrement des avoirs dans les Etats membres" est pour l'Arinwa, l'occasion de dresser le bilan de ses activités de l’année écoulée et fixer les perspectives de l'exercice 2022-2023.
HS/ls/Top News Africa
Publié le mardi 6 décembre 2022