Placée sous le thème : "une décennie de l’alimentation : célébrer le passé, assurer un avenir plus juste", cette édition met l’accent sur l’implication des acteurs locaux dans le programme d’alimentation scolaire.
Selon la ministre, dont les propos sont rapportés par une note d’information consultée ce vendredi 28 février 2025 par l'agence de presse Top News Africa, la Côte d’Ivoire a enregistré une forte progression du nombre de cantines scolaires, passant de 277 en 1989 à 5 602 en 2025. Cette évolution s’inscrit dans la volonté du gouvernement d’améliorer l’accès à une alimentation saine et équilibrée pour les élèves.
"L’alimentation scolaire joue un rôle crucial dans l’assiduité, le maintien des élèves à l’école et l’amélioration de leur rendement académique. Offrir un repas chaud et équilibré à midi est un levier essentiel dans la lutte contre l’échec scolaire", a souligné Pr Mariatou Koné.
Malgré ces avancées, plusieurs défis persistent. La ministre a identifié trois axes prioritaires : l’approvisionnement durable des cantines, afin de passer de 26 jours de fonctionnement à 80 jours d’ici 2030 pour au moins 60 % des élèves; le soutien aux petits producteurs et le développement des achats locaux pour renforcer l’économie agricole nationale; la digitalisation du processus d’approvisionnement et de gestion des repas, afin d’optimiser la distribution des vivres et améliorer l’efficacité du programme.
La Côte d’Ivoire a intensifié ses efforts en adhérant, en janvier 2023, à la Coalition mondiale pour les repas scolaires et en participant à plusieurs forums internationaux sur la nutrition infantile. À l’échelle nationale, l’étude menée par l’Université de Harvard a démontré que l’alimentation scolaire constitue un investissement stratégique dans le capital humain plutôt qu’une simple dépense budgétaire.
Pr Mariatou Koné a exprimé sa gratitude aux partenaires techniques et financiers, en particulier le Programme alimentaire mondial (PAM), pour leur soutien dans la mise en œuvre du programme d’alimentation scolaire.
Elle a également lancé un appel pressant au secteur privé, aux élus et aux organisations internationales afin de renforcer leur engagement dans ce projet essentiel au développement du pays.
‘’L’école de qualité passe par une synergie d’actions autour de l’alimentation scolaire. Mobilisons-nous pour garantir un avenir meilleur à nos enfants’’, a-t-elle conclu.
Selon la ministre, dont les propos sont rapportés par une note d’information consultée ce vendredi 28 février 2025 par l'agence de presse Top News Africa, la Côte d’Ivoire a enregistré une forte progression du nombre de cantines scolaires, passant de 277 en 1989 à 5 602 en 2025. Cette évolution s’inscrit dans la volonté du gouvernement d’améliorer l’accès à une alimentation saine et équilibrée pour les élèves.
"L’alimentation scolaire joue un rôle crucial dans l’assiduité, le maintien des élèves à l’école et l’amélioration de leur rendement académique. Offrir un repas chaud et équilibré à midi est un levier essentiel dans la lutte contre l’échec scolaire", a souligné Pr Mariatou Koné.
Malgré ces avancées, plusieurs défis persistent. La ministre a identifié trois axes prioritaires : l’approvisionnement durable des cantines, afin de passer de 26 jours de fonctionnement à 80 jours d’ici 2030 pour au moins 60 % des élèves; le soutien aux petits producteurs et le développement des achats locaux pour renforcer l’économie agricole nationale; la digitalisation du processus d’approvisionnement et de gestion des repas, afin d’optimiser la distribution des vivres et améliorer l’efficacité du programme.
La Côte d’Ivoire a intensifié ses efforts en adhérant, en janvier 2023, à la Coalition mondiale pour les repas scolaires et en participant à plusieurs forums internationaux sur la nutrition infantile. À l’échelle nationale, l’étude menée par l’Université de Harvard a démontré que l’alimentation scolaire constitue un investissement stratégique dans le capital humain plutôt qu’une simple dépense budgétaire.
Pr Mariatou Koné a exprimé sa gratitude aux partenaires techniques et financiers, en particulier le Programme alimentaire mondial (PAM), pour leur soutien dans la mise en œuvre du programme d’alimentation scolaire.
Elle a également lancé un appel pressant au secteur privé, aux élus et aux organisations internationales afin de renforcer leur engagement dans ce projet essentiel au développement du pays.
‘’L’école de qualité passe par une synergie d’actions autour de l’alimentation scolaire. Mobilisons-nous pour garantir un avenir meilleur à nos enfants’’, a-t-elle conclu.
MD/Top News Africa
Publié le samedi 1 mars 2025