Avec la naissance depuis 2012 de nouvelles institutions telles que la HABG, le Pôle pénal économique et financier, l’Agence de gestion des recouvrements des avoirs criminels et la Cellule de traitement des informations financières, la Côte d’Ivoire enregistre des progrès significatifs en matière de transparence et de lutte contre la corruption dans le secteur public, selon le président Epiphane Zoro.
Il a relevé ces indicateurs au cours d’un atelier de restitution des travaux d’un projet de développement et de mise en œuvre des approches et outils de prévention de la corruption et du renforcement des systèmes d’intégrité dans neuf administrations issues de quatre ministères du gouvernement ivoirien.
Selon lui, ces progrès significatifs, enregistrés ont valu au pays la reconnaissance des institutions internationales, en matière de transparence et de bonne gouvernance.
Citant les indicateurs qui attestent cette évolution, M. Zoro Bi Ballo a relevé l’indice de Transparence, de redevabilité et de la lutte contre la corruption du secteur public de la Banque africaine de développement (BAD) montrant une tendance boursière de la Côte d’Ivoire qui est passée d’un score de 3 sur un minimum de 6 à plus de 4 sur 6 de 2012 à 2022.
Après l’indicateur de la BAD, le président Zoro Bi Ballo a fait mention d’Afro Baromètre. Une institution indiquant au vert, le score de mesure de la corruption des représentants du gouvernement ivoirien qui est situé à 0,66 sur un maximum fixé à 1 entre 2021 et 2022 avec un indicateur de corruption estimé à 0,57%.
Quant à l’indicateur de Millénium challenge corporation (MCC), a-t-il poursuivi, le score de la Côte d’Ivoire dépasse largement le score médian du groupe de pays à revenu intermédiaire auquel la Côte d’Ivoire appartient désormais.
La Côte d’Ivoire est dans la catégorie des pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure.
Enfin, le président a mentionné l’indice de perception de la corruption de l’ONG international transparency, qui indique que la Côte d’Ivoire a fait d’importants progrès en matière de transparence et de lutte contre la corruption entre 2012 et 2023. Le pays est passé d’un score de 27 sur 100 en 2012 à 40 sur 100 en 2023.
Il a relevé ces indicateurs au cours d’un atelier de restitution des travaux d’un projet de développement et de mise en œuvre des approches et outils de prévention de la corruption et du renforcement des systèmes d’intégrité dans neuf administrations issues de quatre ministères du gouvernement ivoirien.
Selon lui, ces progrès significatifs, enregistrés ont valu au pays la reconnaissance des institutions internationales, en matière de transparence et de bonne gouvernance.
Citant les indicateurs qui attestent cette évolution, M. Zoro Bi Ballo a relevé l’indice de Transparence, de redevabilité et de la lutte contre la corruption du secteur public de la Banque africaine de développement (BAD) montrant une tendance boursière de la Côte d’Ivoire qui est passée d’un score de 3 sur un minimum de 6 à plus de 4 sur 6 de 2012 à 2022.
Après l’indicateur de la BAD, le président Zoro Bi Ballo a fait mention d’Afro Baromètre. Une institution indiquant au vert, le score de mesure de la corruption des représentants du gouvernement ivoirien qui est situé à 0,66 sur un maximum fixé à 1 entre 2021 et 2022 avec un indicateur de corruption estimé à 0,57%.
Quant à l’indicateur de Millénium challenge corporation (MCC), a-t-il poursuivi, le score de la Côte d’Ivoire dépasse largement le score médian du groupe de pays à revenu intermédiaire auquel la Côte d’Ivoire appartient désormais.
La Côte d’Ivoire est dans la catégorie des pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure.
Enfin, le président a mentionné l’indice de perception de la corruption de l’ONG international transparency, qui indique que la Côte d’Ivoire a fait d’importants progrès en matière de transparence et de lutte contre la corruption entre 2012 et 2023. Le pays est passé d’un score de 27 sur 100 en 2012 à 40 sur 100 en 2023.
HS/Top News Africa
Publié le jeudi 21 mars 2024