Les décrets, datés du 30 octobre 2024, sanctionnent ces officiers pour des "atteintes à la dignité militaire", accusés d’avoir conspiré pour porter les armes contre l’État et menacer la défense nationale.
Parmi les radiés figure l'ex-lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo Damiba, exilé au Togo depuis sa destitution en septembre 2022. Damiba est accusé d'« intelligence avec une puissance étrangère et des groupes terroristes » dans le but de soutenir des actions hostiles au Burkina Faso.
Cette mesure concerne également d'autres hauts responsables, dont le lieutenant-colonel Evrard Somda, ancien chef d’état-major de la gendarmerie nationale, arrêté plus tôt cette année et maintenu en détention secrète.
Le colonel Yves-Didier Bamouni, ancien commandant des opérations de lutte antiterroriste, le lieutenant-colonel Check Hamza Tidiane Ouattara, ex-commandant de la légion spéciale de gendarmerie, et le commandant Alphonse Zorma, ancien procureur de la justice militaire, figurent également sur la liste des officiers radiés.
Selon les décrets, ces officiers sont accusés de « démoralisation des forces armées et des populations » en vue de porter atteinte à la défense nationale.
Parmi les radiés figure l'ex-lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo Damiba, exilé au Togo depuis sa destitution en septembre 2022. Damiba est accusé d'« intelligence avec une puissance étrangère et des groupes terroristes » dans le but de soutenir des actions hostiles au Burkina Faso.
Cette mesure concerne également d'autres hauts responsables, dont le lieutenant-colonel Evrard Somda, ancien chef d’état-major de la gendarmerie nationale, arrêté plus tôt cette année et maintenu en détention secrète.
Le colonel Yves-Didier Bamouni, ancien commandant des opérations de lutte antiterroriste, le lieutenant-colonel Check Hamza Tidiane Ouattara, ex-commandant de la légion spéciale de gendarmerie, et le commandant Alphonse Zorma, ancien procureur de la justice militaire, figurent également sur la liste des officiers radiés.
Selon les décrets, ces officiers sont accusés de « démoralisation des forces armées et des populations » en vue de porter atteinte à la défense nationale.
MD/Top News Africa
Publié le mercredi 6 novembre 2024