C’est d’abord, le ministre de la Promotion de la jeunesse, de l’Insertion professionnelle et du Service civique, Mamadou Touré qui ouvre le bal, mardi 12, à l’amphithéâtre de la faculté de Pharmacie de l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan Cocody autour des thèmes ‘’Regard et sens de l’année de la jeunesse décrétée par le Chef de l’État’’ et ‘’Problématique de l’immigration clandestine: actions entreprises par l’État et perspective d’avenir pour remédier au fléau “.
Face aux étudiants dans le cadre de la célébration des 20 ans du journal “ l’Intelligent d’Abidjan ”, le ministre Mamadou Touré a décliné les actions du Président Alassane Ouattara en faveur de la formation, mais surtout pour l’insertion professionnelle des jeunes depuis son accession au pouvoir en 2011.
‘’Le Président Ouattara, à son arrivée au pouvoir avait dit qu’il créerait un million d’emplois en 5 ans. Ce qui représentait environ 200 mille emplois par an. Selon la statistique nationale sur la quête d’emploi, sur la période 2011-2016, ce sont autour de 2,8 millions d’emplois qui ont été créés’’, a révélé M. Touré en présence du Directeur général Alafé Wakili et de nombreux invités.
Cependant, il a souligné que ‘’même en créant 2,8 millions d’emplois sur pratiquement 10 ans, là où vous avez entre 300 et 400 mille jeunes qui arrivent sur le marché du travail chaque année, ça reste encore insuffisant au regard du nombre croissant de jeunes’’ , a relativisé Mamadou Touré.
Concernant l’année 2023, M. Touré a expliqué aux étudiants que l’objectif du Chef de l’État, en déclarant l’année 2023, année de la jeunesse, était de susciter une série de réformes au sein du gouvernement pour accélérer les actions visant à une autonomie réelle de la jeunesse, d’où la mise en place du Programme jeunes du gouvernement (PJ-Gouv).
‘’On parle de 2023, mais ce sont en réalité les trois prochaines années qui sont visées. Parce que le programme qui a été élaboré par le gouvernement, prend en compte la mise en œuvre de la vision du Chef de l’État sur les trois prochaines années’’, a-t-il indiqué.
Selon lui, il s’agit d’amplifier toutes les réformes et actions en faveur des jeunes et faire en sorte que dans les prochaines années, ‘’en dépit de ses résultats déjà obtenus, nous puissions aller encore plus loin. (…) 21 ministères ont travaillé avec le Premier ministre pour sortir le Projet jeune du gouvernement (PJ-Gouv) qui sur la période 2023 -2025 se chiffre à 1118 milliards de FCFA. Sur cette période, 1,5 million de jeunes seront impactés’’, a-t-il commenté.
Le lendemain mercredi 13 septembre, il est revenu au ministre de l’emploi et de la protection sociale, Adama Kamara, de donner sa contribution au deuxième jour des célébrations des 20 ans de l’Intelligent d’Abidjan, autour du thème “Emploi et protection sociale : vision et ambition” et la Couverture maladie universelle (CMU).
‘’Les cotisations CMU, c’est comme payer sa facture d’eau et d’électricité. Si tu ne paies pas ta facture d’eau, tu n’auras pas d’eau. Si tu ne paies pas ta facture d’électricité, tu n’auras pas d’électricité. Je ne souhaite à personne d’être malade. Mais, si tu ne paies pas ta cotisation de la CMU et que tu tombes malade, même si tu as les moyens, tu comprendras que la prise en charge a un coût extrêmement élevé’’, a-t-il dit dans une pointe d’humour.
Selon lui, la cotisation mensuelle pour la Couverture maladie universelle (CMU) doit être pour toute personne vivant en Côte d’Ivoire, une obligation vitale, a insisté M. Camara lors de cette journée dédiée à l’assurance et à la prévoyance sociale.
Par ailleurs, Adama Camara a invité tous les fonctionnaires et agents de l’État de Côte d’Ivoire à accepter de ‘’souscrire à la complémentaire par capitalisation instituée pour eux. C’est pour leur bonheur. C’est une économie sécurisée à consommation différée".
"C’est souvent le prix de deux bières ou de deux invitations dans le mois à l’hôtel. Dispensez-vous de ça et préparez votre avenir. C’est la même chose pour le régime social des travailleurs indépendants’’, a-t-il conseillé.
Face aux étudiants dans le cadre de la célébration des 20 ans du journal “ l’Intelligent d’Abidjan ”, le ministre Mamadou Touré a décliné les actions du Président Alassane Ouattara en faveur de la formation, mais surtout pour l’insertion professionnelle des jeunes depuis son accession au pouvoir en 2011.
‘’Le Président Ouattara, à son arrivée au pouvoir avait dit qu’il créerait un million d’emplois en 5 ans. Ce qui représentait environ 200 mille emplois par an. Selon la statistique nationale sur la quête d’emploi, sur la période 2011-2016, ce sont autour de 2,8 millions d’emplois qui ont été créés’’, a révélé M. Touré en présence du Directeur général Alafé Wakili et de nombreux invités.
Cependant, il a souligné que ‘’même en créant 2,8 millions d’emplois sur pratiquement 10 ans, là où vous avez entre 300 et 400 mille jeunes qui arrivent sur le marché du travail chaque année, ça reste encore insuffisant au regard du nombre croissant de jeunes’’ , a relativisé Mamadou Touré.
Concernant l’année 2023, M. Touré a expliqué aux étudiants que l’objectif du Chef de l’État, en déclarant l’année 2023, année de la jeunesse, était de susciter une série de réformes au sein du gouvernement pour accélérer les actions visant à une autonomie réelle de la jeunesse, d’où la mise en place du Programme jeunes du gouvernement (PJ-Gouv).
‘’On parle de 2023, mais ce sont en réalité les trois prochaines années qui sont visées. Parce que le programme qui a été élaboré par le gouvernement, prend en compte la mise en œuvre de la vision du Chef de l’État sur les trois prochaines années’’, a-t-il indiqué.
Selon lui, il s’agit d’amplifier toutes les réformes et actions en faveur des jeunes et faire en sorte que dans les prochaines années, ‘’en dépit de ses résultats déjà obtenus, nous puissions aller encore plus loin. (…) 21 ministères ont travaillé avec le Premier ministre pour sortir le Projet jeune du gouvernement (PJ-Gouv) qui sur la période 2023 -2025 se chiffre à 1118 milliards de FCFA. Sur cette période, 1,5 million de jeunes seront impactés’’, a-t-il commenté.
Le lendemain mercredi 13 septembre, il est revenu au ministre de l’emploi et de la protection sociale, Adama Kamara, de donner sa contribution au deuxième jour des célébrations des 20 ans de l’Intelligent d’Abidjan, autour du thème “Emploi et protection sociale : vision et ambition” et la Couverture maladie universelle (CMU).
‘’Les cotisations CMU, c’est comme payer sa facture d’eau et d’électricité. Si tu ne paies pas ta facture d’eau, tu n’auras pas d’eau. Si tu ne paies pas ta facture d’électricité, tu n’auras pas d’électricité. Je ne souhaite à personne d’être malade. Mais, si tu ne paies pas ta cotisation de la CMU et que tu tombes malade, même si tu as les moyens, tu comprendras que la prise en charge a un coût extrêmement élevé’’, a-t-il dit dans une pointe d’humour.
Selon lui, la cotisation mensuelle pour la Couverture maladie universelle (CMU) doit être pour toute personne vivant en Côte d’Ivoire, une obligation vitale, a insisté M. Camara lors de cette journée dédiée à l’assurance et à la prévoyance sociale.
Par ailleurs, Adama Camara a invité tous les fonctionnaires et agents de l’État de Côte d’Ivoire à accepter de ‘’souscrire à la complémentaire par capitalisation instituée pour eux. C’est pour leur bonheur. C’est une économie sécurisée à consommation différée".
"C’est souvent le prix de deux bières ou de deux invitations dans le mois à l’hôtel. Dispensez-vous de ça et préparez votre avenir. C’est la même chose pour le régime social des travailleurs indépendants’’, a-t-il conseillé.
HS/Top News Africa
Publié le samedi 16 septembre 2023