Le Front commun est, ainsi, doté d’une Conférence des Présidents, composée de Laurent Gbagbo et Tidjane Thiam, d’un Comité de pilotage où se retrouvent Pr Dano Djédjé, Stéphane Kipré, Me Habiba Touré et Emmanuel Ackah (PPA-CI) ainsi qu’Akossi Bendjo, Alain Cocautrey, Ezaley Philippe et Aziz Thiam (PDCI-RDA).
Le secrétariat administratif est assuré par Damana Pickass (PPA-CI), le comité opérationnel est l’affaire de comité opérationnel coordonné par Damana Adia Pickass et Roger M’bia (PDCI) quand Billaud Daniel et Kouakou Guillaume sont chargés des finances.
La Communication du Front commun échoit à Fabrice Lago (PPA-CI) et Bredoumy Soumaïla (PDCI). Dia Houphouët (PDCI) et Koua Justin sont chargés de la mobilisation tandis que Dahi Nestor (PPA-CI) et Hervié Fian coordonnent la logistique.
Selon Pr Dano Djédjé, le Front commun PPA-CI – PDCI-RDA repose sur ‘’des engagements concrets, clairs, et immédiatement opérationnels".
‘’Le premier de ces engagements est la réforme du cadre électoral, à commencer par l’inscription sur la liste électorale des candidats arbitrairement exclus, l’audit indépendant de la liste électorale, et la recomposition de la CEI, pour en faire une institution véritablement impartiale’’, a-t-il exigé, soulignant que ’’le Front Commun portera ensemble ces exigences devant le peuple, devant les institutions, et devant la communauté internationale’’.
Placé sous le sceau de la responsabilité historique et du sens de l’État, le Front Commun, selon Dano Djédjé, ‘’s’inscrit dans une démarche de paix, parce que nous croyons que la paix n’est pas la soumission, mais l'expression maîtrisée de nos droits légitimes’.
Aussi, a-t-il appelé les autres partis politiques, ‘’les forces de changement, toutes les consciences républicaines, tous les citoyens ivoiriens à rejoindre ce Front dans la voie de l’unité dans le respect, du dialogue dans la fermeté, du combat dans l’espoir’’.
‘’Ce Front n’est pas né pour faire de la figuration. Il est né pour peser. Il est né pour agir. Et si l’on persiste à exclure arbitrairement des candidats, à manipuler les instruments électoraux, à refuser le dialogue républicain, alors nous saurons mobiliser le peuple, dans le respect des lois, mais avec une détermination sans faille. Car, la Côte d’Ivoire n’est pas la propriété d’un clan’’, a averti Pr Dano Djédjé.
Le secrétariat administratif est assuré par Damana Pickass (PPA-CI), le comité opérationnel est l’affaire de comité opérationnel coordonné par Damana Adia Pickass et Roger M’bia (PDCI) quand Billaud Daniel et Kouakou Guillaume sont chargés des finances.
La Communication du Front commun échoit à Fabrice Lago (PPA-CI) et Bredoumy Soumaïla (PDCI). Dia Houphouët (PDCI) et Koua Justin sont chargés de la mobilisation tandis que Dahi Nestor (PPA-CI) et Hervié Fian coordonnent la logistique.
Selon Pr Dano Djédjé, le Front commun PPA-CI – PDCI-RDA repose sur ‘’des engagements concrets, clairs, et immédiatement opérationnels".
‘’Le premier de ces engagements est la réforme du cadre électoral, à commencer par l’inscription sur la liste électorale des candidats arbitrairement exclus, l’audit indépendant de la liste électorale, et la recomposition de la CEI, pour en faire une institution véritablement impartiale’’, a-t-il exigé, soulignant que ’’le Front Commun portera ensemble ces exigences devant le peuple, devant les institutions, et devant la communauté internationale’’.
Placé sous le sceau de la responsabilité historique et du sens de l’État, le Front Commun, selon Dano Djédjé, ‘’s’inscrit dans une démarche de paix, parce que nous croyons que la paix n’est pas la soumission, mais l'expression maîtrisée de nos droits légitimes’.
Aussi, a-t-il appelé les autres partis politiques, ‘’les forces de changement, toutes les consciences républicaines, tous les citoyens ivoiriens à rejoindre ce Front dans la voie de l’unité dans le respect, du dialogue dans la fermeté, du combat dans l’espoir’’.
‘’Ce Front n’est pas né pour faire de la figuration. Il est né pour peser. Il est né pour agir. Et si l’on persiste à exclure arbitrairement des candidats, à manipuler les instruments électoraux, à refuser le dialogue républicain, alors nous saurons mobiliser le peuple, dans le respect des lois, mais avec une détermination sans faille. Car, la Côte d’Ivoire n’est pas la propriété d’un clan’’, a averti Pr Dano Djédjé.
HS/Top News Africa
Publié le jeudi 17 juillet 2025