Le séminaire organisé en partenariat avec la Convention de la société civile ivoirienne, Lumière Synergie pour le Développement du Sénégal et le Réseau des plateformes d'ONG d'Afrique de l'Ouest, réunit des représentants de la société civile de Côte d’Ivoire, du Bénin, du Burkina Faso, de Guinée, du Mali, du Niger, du Togo, du Sénégal, du Cameroun, de la République démocratique du Congo et du Gabon.
Selon David Simpson, Directeur général du MIR de la Bad, l'objectif principal de ce séminaire est de promouvoir la redevabilité dans le cadre des projets de développement à grande échelle et de fournir des outils aux communautés, défenseurs des droits humains et organisations de la société civile francophones d'Afrique de l'Ouest et du Centre afin de mieux défendre les droits des communautés pour un développement inclusif et durable.
''La redevabilité et la protection des droits humains sont deux leviers essentiels au développement durable. Elles permettent entre autres de prévenir les abus de pouvoir, de garantir la transparence, la bonne gouvernance et l'équité en vue d’un développement inclusif et durable'', a-t-il indiqué.
A l'en croire, la Banque africaine de développement, reconnait le rôle combien important que peut jouer la société civile en matière de protection des droits humains et dans la redevabilité de ses opérations d’où l’organisation du présent séminaire à leur intention.
''Ces thématiques sont au cœur des missions du Pnud et des objectifs de développement durable que nous nous efforçons d’atteindre'', a, pour sa part, fait savoir, Sylvère Koffi, Chargé Project e-justice du Pnud. Selon lui, la protection et la promotion des droits de l’homme sont des piliers essentiels pour un développement inclusif et durable.
Car, elles placent l’humain au centre de toutes les activités de développement et garantissent que chaque individu puisse participer pleinement au processus de développement et en bénéficier équitablement, a expliqué M.Koffi.
Au nom du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l'Homme, le Conseiller Technique, Sam Claude, s'est réjoui de la tenue de cet atelier qui est une opportunité d’enrichir les connaissances des participants sur la responsabilité des entreprises en matière de droit de l’homme, de même que sur les voies de recours offertes dans ce cadre.
"L’appui du ministre de la Justice et des Droits de l’Homme dénote également de l’engagement du Gouvernement ivoirien à impliquer effectivement les organisations de la société civile dans la vie de la nation, conformément à l’article 26 de la Constitution ivoirienne qui prévoit que +la société civile est une des composantes de l’expression de la démocratie+", a souligné Sam Claude avant de procéder à l'ouverture officielle du séminaire qui prendra ce mardi 25 juin.
Une conférence inaugurale et des sessions thématiques meubleront ces 48h d'échanges.
Selon David Simpson, Directeur général du MIR de la Bad, l'objectif principal de ce séminaire est de promouvoir la redevabilité dans le cadre des projets de développement à grande échelle et de fournir des outils aux communautés, défenseurs des droits humains et organisations de la société civile francophones d'Afrique de l'Ouest et du Centre afin de mieux défendre les droits des communautés pour un développement inclusif et durable.
''La redevabilité et la protection des droits humains sont deux leviers essentiels au développement durable. Elles permettent entre autres de prévenir les abus de pouvoir, de garantir la transparence, la bonne gouvernance et l'équité en vue d’un développement inclusif et durable'', a-t-il indiqué.
A l'en croire, la Banque africaine de développement, reconnait le rôle combien important que peut jouer la société civile en matière de protection des droits humains et dans la redevabilité de ses opérations d’où l’organisation du présent séminaire à leur intention.
''Ces thématiques sont au cœur des missions du Pnud et des objectifs de développement durable que nous nous efforçons d’atteindre'', a, pour sa part, fait savoir, Sylvère Koffi, Chargé Project e-justice du Pnud. Selon lui, la protection et la promotion des droits de l’homme sont des piliers essentiels pour un développement inclusif et durable.
Car, elles placent l’humain au centre de toutes les activités de développement et garantissent que chaque individu puisse participer pleinement au processus de développement et en bénéficier équitablement, a expliqué M.Koffi.
Au nom du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l'Homme, le Conseiller Technique, Sam Claude, s'est réjoui de la tenue de cet atelier qui est une opportunité d’enrichir les connaissances des participants sur la responsabilité des entreprises en matière de droit de l’homme, de même que sur les voies de recours offertes dans ce cadre.
"L’appui du ministre de la Justice et des Droits de l’Homme dénote également de l’engagement du Gouvernement ivoirien à impliquer effectivement les organisations de la société civile dans la vie de la nation, conformément à l’article 26 de la Constitution ivoirienne qui prévoit que +la société civile est une des composantes de l’expression de la démocratie+", a souligné Sam Claude avant de procéder à l'ouverture officielle du séminaire qui prendra ce mardi 25 juin.
Une conférence inaugurale et des sessions thématiques meubleront ces 48h d'échanges.
HS/Top News Africa
Publié le lundi 24 juin 2024