L’objectif de cette rencontre, qui s’est déroulée dans un climat qualifié de "cordial", était de trouver une issue à la crise sécuritaire qui secoue l’Est de la RDC. Kinshasa accuse Kigali de soutenir la rébellion du M23, qui contrôle une partie des provinces du Nord et du Sud-Kivu. Des accusations étayées par plusieurs rapports des Nations unies, mais systématiquement rejetées par le Rwanda.
Selon le communiqué officiel du Qatar, Félix Tshisekedi et Paul Kagamé ont réaffirmé leur engagement en faveur d’un "cessez-le-feu immédiat et inconditionnel" et convenu de poursuivre le dialogue. La rencontre, qui a débuté à 16 heures à Doha (13h TU) et duré environ 45 minutes, marque une avancée dans les efforts de médiation, après plusieurs tentatives avortées ces derniers mois.
L’émir du Qatar, qui avait tenté d’organiser un sommet entre les deux dirigeants en janvier 2023, joue ici un rôle clé dans le rapprochement. Cette rencontre surprise intervient alors que des négociations devaient s’ouvrir le même jour à Luanda entre le gouvernement congolais et le groupe armé M23/AFC.
Cependant, ces discussions ont été suspendues en raison de l’absence des représentants du mouvement rebelle.
Alors que les tensions persistent sur le terrain, ce dialogue relancé entre Kinshasa et Kigali pourrait-il amorcer une désescalade ? Si la déclaration commune marque un pas en avant, la mise en œuvre concrète du cessez-le-feu demeure incertaine, dans un contexte où les combats continuent à fragiliser la région.
Selon le communiqué officiel du Qatar, Félix Tshisekedi et Paul Kagamé ont réaffirmé leur engagement en faveur d’un "cessez-le-feu immédiat et inconditionnel" et convenu de poursuivre le dialogue. La rencontre, qui a débuté à 16 heures à Doha (13h TU) et duré environ 45 minutes, marque une avancée dans les efforts de médiation, après plusieurs tentatives avortées ces derniers mois.
L’émir du Qatar, qui avait tenté d’organiser un sommet entre les deux dirigeants en janvier 2023, joue ici un rôle clé dans le rapprochement. Cette rencontre surprise intervient alors que des négociations devaient s’ouvrir le même jour à Luanda entre le gouvernement congolais et le groupe armé M23/AFC.
Cependant, ces discussions ont été suspendues en raison de l’absence des représentants du mouvement rebelle.
Alors que les tensions persistent sur le terrain, ce dialogue relancé entre Kinshasa et Kigali pourrait-il amorcer une désescalade ? Si la déclaration commune marque un pas en avant, la mise en œuvre concrète du cessez-le-feu demeure incertaine, dans un contexte où les combats continuent à fragiliser la région.
MD/Top News Africa
Publié le mercredi 19 mars 2025