''Ce mardi 29 juillet 2025, Monsieur Alassane Ouattara a, sans surprise, annoncé sa décision de briguer un quatrième mandat présidentiel illégal, foulant une fois de plus aux pieds la Constitution ivoirienne et les principes les plus élémentaires de la démocratie'', a écrit Guillaume Soro sur sa page officielle Méta.
Selon lui, le '''simulacre'' de suspense orchestré ces dernières semaines n’aura trompé personne et surtout pas lui, estimant qu'il ne s’agissait que ''d’une mise en scène destinée à préparer l’opinion à une nouvelle violation de notre Loi fondamentale'', a-t-il ajouté.
''Après avoir invoqué, en 2020, un prétendu cas de force majeure pour justifier un troisième mandat inconstitutionnel, le voici qui récidive, cinq ans plus tard, avec les mêmes arguments éculés : la situation sécuritaire, les défis économiques et autres impératifs de stabilité pour justifier l’injustifiable'', a indiqué l'ex-Premier ministre ivoirien.
A en croire M. Soro ''Alassane Ouattara ne veut pas quitter le pouvoir, comme tout bon dictateur qui se respecte. Il est prêt à tout pour pérenniser son pouvoir personnel, au mépris de la paix sociale, de la stabilité du pays et de la sécurité de ses habitants'', a-t-il déploré, dénonçant encore '' une opposition embastillée, la démocratie bâillonnée, et la liste électorale, totalement truquée'', préjugeant des ''lendemains périlleux''.
Selon lui, le '''simulacre'' de suspense orchestré ces dernières semaines n’aura trompé personne et surtout pas lui, estimant qu'il ne s’agissait que ''d’une mise en scène destinée à préparer l’opinion à une nouvelle violation de notre Loi fondamentale'', a-t-il ajouté.
''Après avoir invoqué, en 2020, un prétendu cas de force majeure pour justifier un troisième mandat inconstitutionnel, le voici qui récidive, cinq ans plus tard, avec les mêmes arguments éculés : la situation sécuritaire, les défis économiques et autres impératifs de stabilité pour justifier l’injustifiable'', a indiqué l'ex-Premier ministre ivoirien.
A en croire M. Soro ''Alassane Ouattara ne veut pas quitter le pouvoir, comme tout bon dictateur qui se respecte. Il est prêt à tout pour pérenniser son pouvoir personnel, au mépris de la paix sociale, de la stabilité du pays et de la sécurité de ses habitants'', a-t-il déploré, dénonçant encore '' une opposition embastillée, la démocratie bâillonnée, et la liste électorale, totalement truquée'', préjugeant des ''lendemains périlleux''.
HS/Top News Africa
Publié le mardi 29 juillet 2025