Quelque 600 officiels de 36 délégations dont 9 conduites par des chefs d’institutions parlementaires, sont attendus aux bords de la lagune Ebrié pour débattre, pendant deux jours, sur une thématique importante et aborder les sujets d’intérêt commun de l’Union : ’’Changements climatiques dans le monde : quelle riposte des pays membres de l’UPCI ?’’.
Cette session offre l’opportunité de se livrer à une analyse claire de l’échelle des défis auxquels la planète est confrontée et de formuler des recommandations fortes sur la façon dont les parlementaires, les décideurs politiques, ainsi que les communautés du développement et du climat/de l’environnement, peuvent agir de concert pour réduire les risques et sauver des vies.
En marge de cette rencontre, le président de l’Assemblée nationale Adama Bictogo s’entretiendra avec plusieurs de ses homologues, en particulier Kurtuluş Numan, président de la Grande Assemblée nationale de Turquie, également reçu en audience par le Chef de l’État, Alassane Ouattara, rapporte une note d’information consultée, lundi, par l’agence de presse Top News Africa.
Pour les pays membres de l’UPCI, cette crise offre une occasion de bâtir un meilleur avenir, caractérisé par un développement inclusif et une action climatique soutenue qui permet de prévenir les impacts humanitaires dévastateurs induits par les changements climatiques.
Il s’agit donc de créer une dynamique de changement positif et de susciter la transformation en profondeur dont les populations ont besoin, dans tous les aspects de leurs vies.
La 18e Conférence a été précédée par plusieurs réunions connexes, notamment celles des instances spécialisées de l’UPCI avec un ordre du jour simplifié pour traiter les questions urgentes et procéder à l’élection des États membres de ces commissions.
Les questions de fond qui nécessitent des négociations approfondies seront abordées lors de la session officielle qui démarre ce lundi.
L’UPCI est une organisation créée en juin 1999 par la Conférence Islamique à Téhéran où se trouve son siège permanent. Elle a pour objectifs, entre autres, d’apporter son soutien à la mise en œuvre du principe islamique de concertation (Choura) dans tous les États membres.
Elle œuvre également à promouvoir les rencontres et le dialogue entre les Parlements des États membres de l’OCI et leurs députés, ainsi que le partage d’expériences dans le domaine parlementaire et le débat sur des questions à caractère économique, culturel, social et politique.
Cette session offre l’opportunité de se livrer à une analyse claire de l’échelle des défis auxquels la planète est confrontée et de formuler des recommandations fortes sur la façon dont les parlementaires, les décideurs politiques, ainsi que les communautés du développement et du climat/de l’environnement, peuvent agir de concert pour réduire les risques et sauver des vies.
En marge de cette rencontre, le président de l’Assemblée nationale Adama Bictogo s’entretiendra avec plusieurs de ses homologues, en particulier Kurtuluş Numan, président de la Grande Assemblée nationale de Turquie, également reçu en audience par le Chef de l’État, Alassane Ouattara, rapporte une note d’information consultée, lundi, par l’agence de presse Top News Africa.
Pour les pays membres de l’UPCI, cette crise offre une occasion de bâtir un meilleur avenir, caractérisé par un développement inclusif et une action climatique soutenue qui permet de prévenir les impacts humanitaires dévastateurs induits par les changements climatiques.
Il s’agit donc de créer une dynamique de changement positif et de susciter la transformation en profondeur dont les populations ont besoin, dans tous les aspects de leurs vies.
La 18e Conférence a été précédée par plusieurs réunions connexes, notamment celles des instances spécialisées de l’UPCI avec un ordre du jour simplifié pour traiter les questions urgentes et procéder à l’élection des États membres de ces commissions.
Les questions de fond qui nécessitent des négociations approfondies seront abordées lors de la session officielle qui démarre ce lundi.
L’UPCI est une organisation créée en juin 1999 par la Conférence Islamique à Téhéran où se trouve son siège permanent. Elle a pour objectifs, entre autres, d’apporter son soutien à la mise en œuvre du principe islamique de concertation (Choura) dans tous les États membres.
Elle œuvre également à promouvoir les rencontres et le dialogue entre les Parlements des États membres de l’OCI et leurs députés, ainsi que le partage d’expériences dans le domaine parlementaire et le débat sur des questions à caractère économique, culturel, social et politique.
HS/Top News Africa
Publié le lundi 4 mars 2024