Selon Amadou Coulibaly, par ailleurs ministre de la Communication, qui a animé le point-presse du gouvernement, consécutivement au Conseil des ministres de ce jeudi, cette libération marque la fin d’une situation délicate qui avait suscité des tensions diplomatiques.
"Le président Alassane Ouattara adresse ses vifs remerciements au président Faure Gnassingbé, dont l’implication personnelle a permis ce dénouement heureux", a-t-il déclaré.
Les deux gendarmes, interpellés alors qu’ils poursuivaient des orpailleurs clandestins à la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, vont suivre un processus militaire habituel de débriefing avant de retrouver leurs familles.
Ce n’est pas la première fois que le Togo intervient pour dénouer une crise entre Abidjan et ses voisins. En janvier 2023, grâce à une médiation togolaise dans laquelle s’est personnellement impliqué Faure Gnassingbé, 49 soldats ivoiriens, arrêtés au Mali en juillet 2022, alors qu’ils étaient censés faire partie de la mission de l’ONU dans ce pays, avaient pu être libérés.
La libération des deux gendarmes ivoiriens, marque un nouvel épisode dans les rapports tumultueux de ces dernières années entre la junte militaire burkinabè et le pouvoir ivoirien, les deux pays se suspectant mutuellement de manœuvres de déstabilisation.
"Le président Alassane Ouattara adresse ses vifs remerciements au président Faure Gnassingbé, dont l’implication personnelle a permis ce dénouement heureux", a-t-il déclaré.
Les deux gendarmes, interpellés alors qu’ils poursuivaient des orpailleurs clandestins à la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, vont suivre un processus militaire habituel de débriefing avant de retrouver leurs familles.
Ce n’est pas la première fois que le Togo intervient pour dénouer une crise entre Abidjan et ses voisins. En janvier 2023, grâce à une médiation togolaise dans laquelle s’est personnellement impliqué Faure Gnassingbé, 49 soldats ivoiriens, arrêtés au Mali en juillet 2022, alors qu’ils étaient censés faire partie de la mission de l’ONU dans ce pays, avaient pu être libérés.
La libération des deux gendarmes ivoiriens, marque un nouvel épisode dans les rapports tumultueux de ces dernières années entre la junte militaire burkinabè et le pouvoir ivoirien, les deux pays se suspectant mutuellement de manœuvres de déstabilisation.
MD/Top News Africa
Publié le jeudi 5 décembre 2024