« Nous ne nous laisserons pas voler cette élection. Le président Laurent Gbagbo est notre candidat et nous continuons à nous mobiliser pour sa victoire en octobre prochain", a déclaré M. Dano Djédjé, affirmant que le PPA-CI prend à témoin l'opinion nationale et internationale sur les irrégularités du processus électoral.
Selon le PPA-CI, près de trois millions d’électeurs frauduleux figureraient sur la liste électorale, un chiffre que le parti qualifie d’"alarmant" pour la transparence du scrutin.
"La CEI actuelle n’est pas digne de confiance. Nous demandons sa dissolution et une réforme en profondeur", a exigé le cadre du parti, pointant une composition déséquilibrée de l’organe électoral.
Dano Djédjé a également critiqué l’absence de réponse du gouvernement aux préoccupations soulevées par son parti. "Nous avons adressé deux courriers en 2024 au gouvernement, mais il ne nous a pas répondu. Ce silence est un mépris total", a-t-il fustigé.
Le statut judiciaire de Laurent Gbagbo, ancien président ivoirien et candidat déclaré du PPA-CI, reste un point de crispation. "On nous dit qu’il a été condamné, mais une loi d’amnistie a été prise entre-temps. Pourquoi ne s’appliquerait-elle pas à lui ?", a interrogé Dano Djédjé, dénonçant une "exclusion politique orchestrée" par le président Alassane Ouattara.
Le PPA-CI se dit déterminé à défendre la candidature de son leader. "Quelqu’un a demandé ce que nous ferons si le président Gbagbo n’est pas candidat. Nous ferons ce qu’il faut pour qu’il le soit et il va gagner", a répondu l'ancien ministre de la Réconciliation.
Cette conférence de presse du PPA-CI intervient 24 heures après le début de la publication de la liste électorale provisoire, marquée par l'absence du leader du PPA-CI, Laurent Gbagbo sur ladite liste.
Acquitté par la Cour pénale internationale de crimes contre l'humanité commis lors de la sanglante crise post-électorale de 2010-2011, Laurent Gbagbo reste sous le coup d'une condamnation à 20 ans de prison en Côte d'Ivoire pour le 'braquage" de la Banque centrale des États d'Afrique de l'Ouest (BCEAO) en 2011.
Le PPA-CI exige le rétablissement immédiat du droit de vote de M. Gbagbo en l’inscrivant sur la liste électorale conformément aux exigences de la Cour africaine des droits de l’homme du 25 septembre 2020.
Selon le PPA-CI, près de trois millions d’électeurs frauduleux figureraient sur la liste électorale, un chiffre que le parti qualifie d’"alarmant" pour la transparence du scrutin.
"La CEI actuelle n’est pas digne de confiance. Nous demandons sa dissolution et une réforme en profondeur", a exigé le cadre du parti, pointant une composition déséquilibrée de l’organe électoral.
Dano Djédjé a également critiqué l’absence de réponse du gouvernement aux préoccupations soulevées par son parti. "Nous avons adressé deux courriers en 2024 au gouvernement, mais il ne nous a pas répondu. Ce silence est un mépris total", a-t-il fustigé.
Le statut judiciaire de Laurent Gbagbo, ancien président ivoirien et candidat déclaré du PPA-CI, reste un point de crispation. "On nous dit qu’il a été condamné, mais une loi d’amnistie a été prise entre-temps. Pourquoi ne s’appliquerait-elle pas à lui ?", a interrogé Dano Djédjé, dénonçant une "exclusion politique orchestrée" par le président Alassane Ouattara.
Le PPA-CI se dit déterminé à défendre la candidature de son leader. "Quelqu’un a demandé ce que nous ferons si le président Gbagbo n’est pas candidat. Nous ferons ce qu’il faut pour qu’il le soit et il va gagner", a répondu l'ancien ministre de la Réconciliation.
Cette conférence de presse du PPA-CI intervient 24 heures après le début de la publication de la liste électorale provisoire, marquée par l'absence du leader du PPA-CI, Laurent Gbagbo sur ladite liste.
Acquitté par la Cour pénale internationale de crimes contre l'humanité commis lors de la sanglante crise post-électorale de 2010-2011, Laurent Gbagbo reste sous le coup d'une condamnation à 20 ans de prison en Côte d'Ivoire pour le 'braquage" de la Banque centrale des États d'Afrique de l'Ouest (BCEAO) en 2011.
Le PPA-CI exige le rétablissement immédiat du droit de vote de M. Gbagbo en l’inscrivant sur la liste électorale conformément aux exigences de la Cour africaine des droits de l’homme du 25 septembre 2020.
MD/Top News Africa
Publié le mardi 18 mars 2025