À l’initiative de la sous-préfecture de Transua, dirigée par Mme N’Gbofai Logon Marie-Florence, cette activité a été marquée par une conférence publique sur la paix par le discours public en période électorale et un atelier de formation sur le rôle des populations dans la prévention de la violence en période électorale.
«Les périodes électorales sont des moments cruciaux pour la démocratie. Toutefois, ces moments peuvent aussi être marqués par des tensions, des divisions et parfois des violences. Dans ce cas, le discours public joue un rôle essentiel pour préserver la paix et garantir un climat propice à une compétition saine, équitable et démocratique», a expliqué Professeur Théodore Konimi.
«Pour ce faire, nous devons éviter les rumeurs, les intoxications, la frustration, le dégoût pour ne pas assister à des conflits de masse. Le langage est un outil de paix. Mal employé, il peut nourrir la frustration et engendrer des conflits de masse », a-t-il poursuivi.
Constitués de chefs traditionnels, de femmes et de jeunes, les participants ont salué cette initiative qui a mis un accent particulier sur la responsabilité des populations dans la préservation de la stabilité.
«Les périodes électorales sont des moments cruciaux pour la démocratie. Toutefois, ces moments peuvent aussi être marqués par des tensions, des divisions et parfois des violences. Dans ce cas, le discours public joue un rôle essentiel pour préserver la paix et garantir un climat propice à une compétition saine, équitable et démocratique», a expliqué Professeur Théodore Konimi.
«Pour ce faire, nous devons éviter les rumeurs, les intoxications, la frustration, le dégoût pour ne pas assister à des conflits de masse. Le langage est un outil de paix. Mal employé, il peut nourrir la frustration et engendrer des conflits de masse », a-t-il poursuivi.
Constitués de chefs traditionnels, de femmes et de jeunes, les participants ont salué cette initiative qui a mis un accent particulier sur la responsabilité des populations dans la préservation de la stabilité.
Ces participants ont été invités à adopter un comportement citoyen responsable, celui de refuser les manipulations politiques, respecter les lois et les institutions, encourager la tolérance et favoriser le dialogue communautaire.
Pour l’ODP, la parole publique doit rester un espace de respect et non une arène d’injures. La mobilisation citoyenne et la sensibilisation de proximité sont apparues comme des leviers essentiels pour consolider la cohésion sociale et préserver les acquis démocratiques.
«Il faut avoir un comportement citoyen responsable en refusant les manipulations politiques, en respectant les lois et les institutions, en encourageant le dialogue, la tolérance et la cohésion sociale» a encore expliqué le président de l'ODP.
Théodore Konimi estime qu'il faut favoriser la paix dans les communautés, tout en sensibilisant son entourage, en s’impliquant dans la surveillance citoyenne afin de préserver les acquis.
«Le rôle des populations est de donner du crédit à la parole publique. L’espace public ne doit pas être une foire d’insultes et d’injures», a-t-il insisté.
La Côte d’Ivoire organise son élection présidentielle le 25 octobre 2025 pour laquelle le Conseil constitutionnel doit publier au plus tard le 10 septembre 2025, la liste définitive des candidats retenus après l’examen d’une soixantaine de dossiers de candidature reçus de la Commission électorale indépendante (CEI).
«Il faut avoir un comportement citoyen responsable en refusant les manipulations politiques, en respectant les lois et les institutions, en encourageant le dialogue, la tolérance et la cohésion sociale» a encore expliqué le président de l'ODP.
Théodore Konimi estime qu'il faut favoriser la paix dans les communautés, tout en sensibilisant son entourage, en s’impliquant dans la surveillance citoyenne afin de préserver les acquis.
«Le rôle des populations est de donner du crédit à la parole publique. L’espace public ne doit pas être une foire d’insultes et d’injures», a-t-il insisté.
La Côte d’Ivoire organise son élection présidentielle le 25 octobre 2025 pour laquelle le Conseil constitutionnel doit publier au plus tard le 10 septembre 2025, la liste définitive des candidats retenus après l’examen d’une soixantaine de dossiers de candidature reçus de la Commission électorale indépendante (CEI).
Dans cette attente, la candidature du président Alassane Ouattara et l’exclusion des principaux opposants sous le coup de condamnations judiciaires et un cadre électoral non consensuel suscitent des craintes quant au bon déroulement du vote. Mais le président Alassane Ouattara rassure dans ses déclarations que ce scrutin sera apaisé et sécurisé.
La scène politique ivoirienne traverse un moment de crispation entre le pouvoir et l'opposition. La liste électorale sur laquelle ne figurent pas les principaux leaders de l’opposition est à l'origine de cette crispation.
C’est le cas de Tidjane Thiam, le président du PDCI qui a été radié de la liste électorale pour cause de double nationalité au moment de son inscription sur ladite liste.
L’ex-président Laurent Gbagbo et leader du PPA-CI qui a été radié de la liste électorale ivoirienne en 2023, n’y figure toujours pas.
Cette décision qui découle de sa condamnation par la justice ivoirienne en 2018 dans l’affaire dite du « braquage de la BCEAO (Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest) » reste en vigueur et constitue une barrière juridique empêchant l’ancien président de participer au processus électoral.
Comme lui, l’ex-président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro et l’ancien leader des jeunes patriotes, farouches partisans de M. Gbagbo, Charles Blé Goudé ne figurent pas sur la liste électorale pour cause de condamnation par la justice ivoirienne.
BC/Top News Africa
Publié le vendredi 5 septembre 2025