Selon une circulaire en date du mardi 9 septembre 2025, consultée, mercredi, par l'agence de presse Top News Africa, le ministre de l'Economie, des finances et de la prospective, Aboubakar Nacanabo informe tous les usagers de l’administration publique burkinabé que les chèques comme moyen de paiement dans l'administration sont interdits à compter du 1er octobre 2025.
La circulaire précise que l’utilisation du chèque comme moyen de paiement dans les opérations financières de l’administration publique génère ''des dysfonctionnements récurrents qui affectent l’efficacité de la gestion des finances publiques''.
''Ces dysfonctionnements se manifestent notamment par de fréquents incidents de paiement et des coûts supplémentaires qui grèvent le budget de l’État'', explique le ministre Aboubakar Nacanabo.
Cette situation ne permet pas, selon le membre du gouvernement, ''une gestion efficace de la trésorerie publique et affecte la qualité des services rendus aux usagers de l’administration publique'', ajoute-t-il.
Aussi, dans le souci d’améliorer l’efficacité des services publics et de garantir une meilleure sécurité des transactions financières, ''le ministre de l’économie annonce donc l’interdiction de l’utilisation du chèque, même certifié, comme moyen de paiement dans toutes les opérations financières de l’administration publique, à compter du 1er octobre 2025''.
En conséquence, les moyens de paiement autorisés sont désormais exclusivement le numéraire (dans les limites réglementaires prévues), le mobile money, la plateforme de paiement électronique Faso Arzêka, les virements bancaires.
Cette mesure, poursuit la circulaire, s’applique à toutes les structures de l’administration centrale, des collectivités territoriales, des établissements publics de l’État, ainsi qu’à toute entité bénéficiant de fonds publics ou agissant pour le compte de l’État.
Toutefois, une période transitoire de trente jours, soit jusqu’au 1er octobre 2025, est accordée pour l’acceptation des chèques émis avant l’entrée en vigueur de cette interdiction à laquelle le ministre de l’Economie dit attacher du prix.
La circulaire précise que l’utilisation du chèque comme moyen de paiement dans les opérations financières de l’administration publique génère ''des dysfonctionnements récurrents qui affectent l’efficacité de la gestion des finances publiques''.
''Ces dysfonctionnements se manifestent notamment par de fréquents incidents de paiement et des coûts supplémentaires qui grèvent le budget de l’État'', explique le ministre Aboubakar Nacanabo.
Cette situation ne permet pas, selon le membre du gouvernement, ''une gestion efficace de la trésorerie publique et affecte la qualité des services rendus aux usagers de l’administration publique'', ajoute-t-il.
Aussi, dans le souci d’améliorer l’efficacité des services publics et de garantir une meilleure sécurité des transactions financières, ''le ministre de l’économie annonce donc l’interdiction de l’utilisation du chèque, même certifié, comme moyen de paiement dans toutes les opérations financières de l’administration publique, à compter du 1er octobre 2025''.
En conséquence, les moyens de paiement autorisés sont désormais exclusivement le numéraire (dans les limites réglementaires prévues), le mobile money, la plateforme de paiement électronique Faso Arzêka, les virements bancaires.
Cette mesure, poursuit la circulaire, s’applique à toutes les structures de l’administration centrale, des collectivités territoriales, des établissements publics de l’État, ainsi qu’à toute entité bénéficiant de fonds publics ou agissant pour le compte de l’État.
Toutefois, une période transitoire de trente jours, soit jusqu’au 1er octobre 2025, est accordée pour l’acceptation des chèques émis avant l’entrée en vigueur de cette interdiction à laquelle le ministre de l’Economie dit attacher du prix.
HS/Top News Africa
Publié le mercredi 10 septembre 2025