"Le Mali ne peut demeurer membre d'une organisation aux agissements incompatibles avec les principes constitutionnels (...) fondés sur la souveraineté de l'État", justifie le ministère malien des Affaires étrangères, dans une lettre, ‘’le retrait du Mali de l’Organisation internationale de la Francophonie’’.
Cette rupture intervient dans un contexte de dégradation des relations entre Bamako et l’OIF à la suite du coup d’État d’août 2020 qui a renversé le président Ibrahim Boubacar Keïta, à la tête du pays depuis 2013.
L'organisation avait appelé à la libération du président déchu et à ‘’la mise en place, (…) d'un gouvernement de transition conduit par une autorité civile’’.
Elle avait suspendu le pays "tout en maintenant les actions de coopération bénéficiant directement aux populations civiles, ainsi que celles concourant au rétablissement de la démocratie".
Le Niger, le Burkina Faso et le Mali, trois pays dirigés par des régimes militaires se sont détournés de l’ancien allié français avant de se retrouver dans l'Alliance des Etats du Sahel (AES).
Cette rupture intervient dans un contexte de dégradation des relations entre Bamako et l’OIF à la suite du coup d’État d’août 2020 qui a renversé le président Ibrahim Boubacar Keïta, à la tête du pays depuis 2013.
L'organisation avait appelé à la libération du président déchu et à ‘’la mise en place, (…) d'un gouvernement de transition conduit par une autorité civile’’.
Elle avait suspendu le pays "tout en maintenant les actions de coopération bénéficiant directement aux populations civiles, ainsi que celles concourant au rétablissement de la démocratie".
Le Niger, le Burkina Faso et le Mali, trois pays dirigés par des régimes militaires se sont détournés de l’ancien allié français avant de se retrouver dans l'Alliance des Etats du Sahel (AES).
HS/Top News Africa
Publié le mardi 18 mars 2025