Les plaignants avancent deux principaux motifs. D’une part, ils soutiennent que M. Thiam, naturalisé français en 1987, aurait perdu sa nationalité ivoirienne, condition indispensable pour diriger un parti politique selon la loi et les statuts du PDCI. Ils affirment en outre qu’il ne remplissait pas la condition d’ancienneté de dix ans au Bureau politique.
D’autre part, ils dénoncent plusieurs irrégularités lors du congrès de mai. Il s’agit de l’absence de convention d’investiture, le non-respect des délais de transmission de la liste des délégués et l’absence d’un bureau de séance.
En argument subsidiaire, les requérants invoquent un « empêchement absolu », accusant M. Thiam de résider en France depuis plusieurs mois et de se trouver dans l’incapacité de diriger le parti après le rejet de sa candidature à la présidentielle du 8 septembre. Ils demandent que la vacance du poste soit constatée et qu’un président par intérim, le doyen d’âge des vice-présidents, soit désigné.
L’affaire sera examinée par le tribunal le 2 octobre 2025. La crise survient alors que la candidature de M. Thiam à l’élection présidentielle a été jugée irrecevable par le Conseil constitutionnel, le 8 septembre dernier, au motif qu’il ne remplissait pas les conditions d’éligibilité prévues par la Constitution.
D’autre part, ils dénoncent plusieurs irrégularités lors du congrès de mai. Il s’agit de l’absence de convention d’investiture, le non-respect des délais de transmission de la liste des délégués et l’absence d’un bureau de séance.
En argument subsidiaire, les requérants invoquent un « empêchement absolu », accusant M. Thiam de résider en France depuis plusieurs mois et de se trouver dans l’incapacité de diriger le parti après le rejet de sa candidature à la présidentielle du 8 septembre. Ils demandent que la vacance du poste soit constatée et qu’un président par intérim, le doyen d’âge des vice-présidents, soit désigné.
L’affaire sera examinée par le tribunal le 2 octobre 2025. La crise survient alors que la candidature de M. Thiam à l’élection présidentielle a été jugée irrecevable par le Conseil constitutionnel, le 8 septembre dernier, au motif qu’il ne remplissait pas les conditions d’éligibilité prévues par la Constitution.
BC/Top News Africa
Publié le mercredi 10 septembre 2025