Rendant sa décision, le Tribunal a déclaré Damana Pickass ''non coupable des faits de détention d’armes à feu'' de première catégorie.
Par contre, le Tribunal a déclaré Damana Pickass et ses co-accusés coupables de faits ''d’atteinte à la sûreté de l’Etat''.
En répression, il ''condamne Damana Pickas et Ladjo Ipo à dix ans d’emprisonnement" les cinq autres à ''5 ans d'emprisonnement'', a déclaré le président du Tribunal qui n'a pas prononcé de mandat de dépôt. " C'est son droit discrétionnaire", dira plus tard Me Sérikpa-Aka Roselyne de la défense.
Par ailleurs, il leur fait interdiction de paraître sur le territoire national à l’exception de leur région d’origine et de privation des libertés de dix ans. Damana Pickass a déclaré à la barre vouloir interjeter appel de ce jugement.
Me Sérikpa-Aka Roselyne, assurant la défense de M. Damana a, immédiatement, dénoncé ''un procès politique". " Quand on a affaire à un procès politique, il faut s'attendre une décision politique. Je ne suis pas surprie. Je m'y attendais. Mais comme la loi nous donne des voies de recours, nous allons les exxercer'', a-t-elle confié à l'agence de presse Top News Africa à l'issue de l'audience.
L'accusé a bénéficié du soutien massif des membres de la direction de son parti dont le président exécutif Pr Dano Djédjé, Assoa Adou, l'ex-gouverneur de la BCEAO, Philippe-Henri Dacoury-Tabley, Pierre Vincent Lokrou...
Damana Pickass est accusé avec cinq autres personnes d’atteinte à la sûreté de l’État et soupçonné d’être le commanditaire présumé de l’attaque d’un camp militaire à Abobo, survenue dans la nuit du 20 au 21 avril 2021, au nord d’Abidjan.
Par contre, le Tribunal a déclaré Damana Pickass et ses co-accusés coupables de faits ''d’atteinte à la sûreté de l’Etat''.
En répression, il ''condamne Damana Pickas et Ladjo Ipo à dix ans d’emprisonnement" les cinq autres à ''5 ans d'emprisonnement'', a déclaré le président du Tribunal qui n'a pas prononcé de mandat de dépôt. " C'est son droit discrétionnaire", dira plus tard Me Sérikpa-Aka Roselyne de la défense.
Par ailleurs, il leur fait interdiction de paraître sur le territoire national à l’exception de leur région d’origine et de privation des libertés de dix ans. Damana Pickass a déclaré à la barre vouloir interjeter appel de ce jugement.
Me Sérikpa-Aka Roselyne, assurant la défense de M. Damana a, immédiatement, dénoncé ''un procès politique". " Quand on a affaire à un procès politique, il faut s'attendre une décision politique. Je ne suis pas surprie. Je m'y attendais. Mais comme la loi nous donne des voies de recours, nous allons les exxercer'', a-t-elle confié à l'agence de presse Top News Africa à l'issue de l'audience.
L'accusé a bénéficié du soutien massif des membres de la direction de son parti dont le président exécutif Pr Dano Djédjé, Assoa Adou, l'ex-gouverneur de la BCEAO, Philippe-Henri Dacoury-Tabley, Pierre Vincent Lokrou...
Damana Pickass est accusé avec cinq autres personnes d’atteinte à la sûreté de l’État et soupçonné d’être le commanditaire présumé de l’attaque d’un camp militaire à Abobo, survenue dans la nuit du 20 au 21 avril 2021, au nord d’Abidjan.
HS/Top News Africa
Publié le mercredi 12 février 2025