"Le bilan provisoire sur le plan humain s'élève à 129 morts, dont 24 par balles après sommation", a précisé Jacquemin Shabani dans une déclaration vidéo transmise à la presse, faisant également état de 59 blessés.
A en croire le bilan donné par le ministre de l'Intérieur, des prisonniers seraient morts "par bousculade, étouffement", évoquant "quelques femmes violées", sans révéler leur identité. Selon Jacquemin Shabani, les blessés ont été "pris en charge par le gouvernement pour des soins appropriés".
Aucun détail n'a été communiqué sur le nombre de détenus qui ont tenté de prendre la fuite ni sur les circonstances de cette tentative d’évasion dans la plus grande prison du pays. Toutefois, lundi, le porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya assurait, déjà, à la télévision nationale que la situation était "sous contrôle".
Selon le bilan donné mardi par le ministre de l'Intérieur, certains des prisonniers seraient morts "par bousculade, étouffement". Le ministre a également évoqué "quelques femmes violées", sans plus de précision sur leur identité.
Pour sa part, le ministre de la Justice a indiqué lundi que des enquêtes sont en cours "pour identifier et sanctionner sévèrement les commanditaires de ces actes des sabotage".
La prison centrale de Makala, à Kinshasa, construite en 1957 pour accueillir 1500 prisonniers, compte, aujourd’hui, officiellement entre 14 000 et 15 000 détenus.
A en croire le bilan donné par le ministre de l'Intérieur, des prisonniers seraient morts "par bousculade, étouffement", évoquant "quelques femmes violées", sans révéler leur identité. Selon Jacquemin Shabani, les blessés ont été "pris en charge par le gouvernement pour des soins appropriés".
Aucun détail n'a été communiqué sur le nombre de détenus qui ont tenté de prendre la fuite ni sur les circonstances de cette tentative d’évasion dans la plus grande prison du pays. Toutefois, lundi, le porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya assurait, déjà, à la télévision nationale que la situation était "sous contrôle".
Selon le bilan donné mardi par le ministre de l'Intérieur, certains des prisonniers seraient morts "par bousculade, étouffement". Le ministre a également évoqué "quelques femmes violées", sans plus de précision sur leur identité.
Pour sa part, le ministre de la Justice a indiqué lundi que des enquêtes sont en cours "pour identifier et sanctionner sévèrement les commanditaires de ces actes des sabotage".
La prison centrale de Makala, à Kinshasa, construite en 1957 pour accueillir 1500 prisonniers, compte, aujourd’hui, officiellement entre 14 000 et 15 000 détenus.
HS/Top News Africa
Publié le mardi 3 septembre 2024