‘’L'investigation journalistique est le pilier de la démocratie et nous sommes réunis pour saluer le pouvoir de la vérité et de la transparence. Dans le monde complexe, les journalistes d'investigation assument la responsabilité importante de creuser au-delà des apparences, de remettre en question le statu quo et de mettre en lumière les vérités souvent inconfortables’’, a-t-il indiqué.
Selon Sériba Koné, les journalistes d’investigation sont les gardiens de l’information, les défenseurs de la justice et tiennent le flambeau de la démocratie, rapporte lundi, une note transmise à l’agence de presse Top News Africa.
‘’Chaque fait que nous révélons est le résultat de plusieurs semaines, des mois, voire des années de recherche, de persévérance et, parfois même, au prix de notre vie. Nous ne le faisons pas pour la notoriété, mais pour le bien du public. C'est un devoir que nous portons fièrement’’, a ajouté le président de l’ONJICI.
Pour M. Koné, le journaliste d’investigation doit rester ‘’intrépide’’ dans sa quête de vérité même lorsque les obstacles sont semblent insurmontables. ‘’Les histoires que nous racontons ne sont pas seulement des récits, ce sont des actes de courage, des actes qui défient l'injustice et éclairent les coins sombres de notre monde’’, a expliqué le président Sériba Koné.
‘’Le journalisme d'investigation n'est pas simplement un métier, c'est une vocation, et aujourd'hui, nous renouvelons notre engagement envers cette noble cause’’, a-t-il promis lors de cérémonie ayant pour thème ‘’la contribution de la presse d’investigation dans la lutte contre la corruption en Côte d’Ivoire’’.
Nous devons rester intrépides dans notre quête de vérité, même lorsque les obstacles semblent insurmontables. Les histoires que nous racontons ne sont pas seulement des récits, ce sont des actes de courage, des actes qui défient l'injustice et éclairent les coins sombres de notre monde.
C'est pourquoi, en sa qualité de président de l'ONJICI, il a rendu un hommage à chaque membre de l'équipe de l'hebdomadaire d'investigation de Le Perroquet, aux rédacteurs, aux photographes, aux enquêteurs, et à ''tous ceux qui contribuent à la mission de la recherche de la vérité''.
"Ensemble, nous formons une force indomptable, prête à défendre la vérité et la justice. Continuons à nous élever contre l'oppression, à faire entendre les voix qui sont étouffées et à questionner l'inacceptable", a conseillé Sériba Koné.
Cependant, il a fait un plaidoyer auprès du ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, Ibrahim Khalil Konaté, afin que la loi n° 2013-546 du 30 juillet 2013 relative aux transactions électroniques soit dépoussiérée pour "nous éviter les déplacements".
En cette journée mémorable dédiée au journalisme d'investigation, le président national a exprimé sa fierté face au travail accompli par Le Perroquet sous la houlette professionnelle du principal architecte de cette entreprise, Abou Traoré, par ailleurs, Secrétaire à la Communication de l'ONJICI sans oublier l'ensemble des membres de l'Organisation, régulièrement, nominés et lauréats de divers concours aux échelles nationales, sous-régionales, régionales, voire internationales.
Selon Sériba Koné, les journalistes d’investigation sont les gardiens de l’information, les défenseurs de la justice et tiennent le flambeau de la démocratie, rapporte lundi, une note transmise à l’agence de presse Top News Africa.
‘’Chaque fait que nous révélons est le résultat de plusieurs semaines, des mois, voire des années de recherche, de persévérance et, parfois même, au prix de notre vie. Nous ne le faisons pas pour la notoriété, mais pour le bien du public. C'est un devoir que nous portons fièrement’’, a ajouté le président de l’ONJICI.
Pour M. Koné, le journaliste d’investigation doit rester ‘’intrépide’’ dans sa quête de vérité même lorsque les obstacles sont semblent insurmontables. ‘’Les histoires que nous racontons ne sont pas seulement des récits, ce sont des actes de courage, des actes qui défient l'injustice et éclairent les coins sombres de notre monde’’, a expliqué le président Sériba Koné.
‘’Le journalisme d'investigation n'est pas simplement un métier, c'est une vocation, et aujourd'hui, nous renouvelons notre engagement envers cette noble cause’’, a-t-il promis lors de cérémonie ayant pour thème ‘’la contribution de la presse d’investigation dans la lutte contre la corruption en Côte d’Ivoire’’.
Nous devons rester intrépides dans notre quête de vérité, même lorsque les obstacles semblent insurmontables. Les histoires que nous racontons ne sont pas seulement des récits, ce sont des actes de courage, des actes qui défient l'injustice et éclairent les coins sombres de notre monde.
C'est pourquoi, en sa qualité de président de l'ONJICI, il a rendu un hommage à chaque membre de l'équipe de l'hebdomadaire d'investigation de Le Perroquet, aux rédacteurs, aux photographes, aux enquêteurs, et à ''tous ceux qui contribuent à la mission de la recherche de la vérité''.
"Ensemble, nous formons une force indomptable, prête à défendre la vérité et la justice. Continuons à nous élever contre l'oppression, à faire entendre les voix qui sont étouffées et à questionner l'inacceptable", a conseillé Sériba Koné.
Cependant, il a fait un plaidoyer auprès du ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, Ibrahim Khalil Konaté, afin que la loi n° 2013-546 du 30 juillet 2013 relative aux transactions électroniques soit dépoussiérée pour "nous éviter les déplacements".
En cette journée mémorable dédiée au journalisme d'investigation, le président national a exprimé sa fierté face au travail accompli par Le Perroquet sous la houlette professionnelle du principal architecte de cette entreprise, Abou Traoré, par ailleurs, Secrétaire à la Communication de l'ONJICI sans oublier l'ensemble des membres de l'Organisation, régulièrement, nominés et lauréats de divers concours aux échelles nationales, sous-régionales, régionales, voire internationales.
HS/Top News Africa
Publié le lundi 25 décembre 2023