Saluant l’engagement historique de la Côte d’Ivoire dans le processus d’intégration régionale, avec le rôle pionnier du Président Félix Houphouët-Boigny dans la création de la Cédéao en 1975, la présidente du Sénat a souligné l’importance de cette organisation sous-régionale comme instrument de ''solidarité, de cohésion et de développement''.
Mme Kandia Camara a insisté, en présence des Chefs d’État et de Gouvernement participants sur la nécessité de renforcer l’unité face aux défis de la pauvreté, du terrorisme, de l’analphabétisme et de la fracture numérique...
Selon la présidente de la chambre haute du Parlement ivoirien, qui a pris part à la signature de la carte commémorative du 50è anniversaire, dans la salle historique où fut signé le traité fondateur de l'organisation en 1975, la Cédéao est un instrument d’intégration, de solidarité et de cohésion.
''La Cédéao ne veut pas seulement être au service des pays, elle veut aussi être une Cédéao des peuples. Et la Côte d’Ivoire salue cette célébration'', a-t-elle fait observé.
Les pays de la Cédéao, selon Mme Camara, ont l’habitude de se soutenir mutuellement, et cela a permis à ''nos États d’atteindre le niveau de développement qu’ils connaissent aujourd’hui, grâce à cette solidarité, à ce partage d’expériences et au leadership de nos chefs d’État''.
"Il faut agir ensemble pour lutter contre la pauvreté, comme cela a été le cas pour la pandémie de la COVID. Il faut partager les expériences, s’entraider et se soutenir'', a souhaité la Présidente Kandia Camara, soulignant que c'est dans ''cette synergie d’actions que l’Afrique pourra véritablement prendre son envol et devenir un continent capable de discuter d’égal à égal avec les autres continents''.
La Cédéao est née, le 28 mai 1975 à Lagos par la volonté des pères fondateurs dont Félix Houphouët-Boigny ( Côte d'Ivoire), Mathieu Kérékou (Bénin), Gnassingbé Eyadéma (Togo), Yakubu Gowon (Nigéria), Sangoulé Lamizana (Haute Volta, actuel Burkina Faso) et bien d'autres.
Mme Kandia Camara a insisté, en présence des Chefs d’État et de Gouvernement participants sur la nécessité de renforcer l’unité face aux défis de la pauvreté, du terrorisme, de l’analphabétisme et de la fracture numérique...
Selon la présidente de la chambre haute du Parlement ivoirien, qui a pris part à la signature de la carte commémorative du 50è anniversaire, dans la salle historique où fut signé le traité fondateur de l'organisation en 1975, la Cédéao est un instrument d’intégration, de solidarité et de cohésion.
''La Cédéao ne veut pas seulement être au service des pays, elle veut aussi être une Cédéao des peuples. Et la Côte d’Ivoire salue cette célébration'', a-t-elle fait observé.
Les pays de la Cédéao, selon Mme Camara, ont l’habitude de se soutenir mutuellement, et cela a permis à ''nos États d’atteindre le niveau de développement qu’ils connaissent aujourd’hui, grâce à cette solidarité, à ce partage d’expériences et au leadership de nos chefs d’État''.
"Il faut agir ensemble pour lutter contre la pauvreté, comme cela a été le cas pour la pandémie de la COVID. Il faut partager les expériences, s’entraider et se soutenir'', a souhaité la Présidente Kandia Camara, soulignant que c'est dans ''cette synergie d’actions que l’Afrique pourra véritablement prendre son envol et devenir un continent capable de discuter d’égal à égal avec les autres continents''.
La Cédéao est née, le 28 mai 1975 à Lagos par la volonté des pères fondateurs dont Félix Houphouët-Boigny ( Côte d'Ivoire), Mathieu Kérékou (Bénin), Gnassingbé Eyadéma (Togo), Yakubu Gowon (Nigéria), Sangoulé Lamizana (Haute Volta, actuel Burkina Faso) et bien d'autres.
HS/Top News Africa
Publié le jeudi 29 mai 2025