M. Ben Halima, qui s’entretenait avec plusieurs organes de presse dont l'agence de presse Top News Africa, relève que la Côte d’Ivoire est un pays extrêmement dynamique en économie et surtout dans le secteur du digital.
‘’On le voit à travers les projets qui se mettent en place soit par les opérateurs privés soit par le gouvernement (…). Pour nous, c’est la locomotive qui va montrer la voie à tous les pays aux alentours, dans la sous-région, en termes de transformation digitale’’, fait savoir Adnane Ben Halima, se disant ‘’très ravi’’ de travailler avec des partenaires ivoiriens sur l’économie digitale.
Selon lui, la cybersécurité constitue le capital-confiance qui lie l’usager aux systèmes numériques. ‘’ Huawei est fournisseur d’infrastructures. Et nous essayons de promouvoir les systèmes d’informations numériques et s’il n’y a pas de confiance, il n’y a pas de développement. Pas seulement pour Huawei mais pour tous les pays’’, observe-t-il.
Pour M. Ben Halima, l’économie digitale est une très bonne opportunité pour les pays parce que ‘’la vitesse de l’économie digitale a une plus forte croissance que l’économie traditionnelle grâce notamment au numérique’’, soutient le Vice-président chargé des Relations publiques à Huawei Northern Africa.
Il avance que si les problèmes de sécurité informatique empêchent le développement, ce serait vraiment dommage pour tout le monde.
‘’Car, la cybersécurité va permettre le développement du numérique dans nos vies, dans différents business comme la finance, le sport, l’éducation, la santé… Le plus important c’est de pouvoir évoluer dans cette consommation numérique tout en sécurisant les informations et les usagers’’, conseille Adnane Ben Halima, prévenant que ‘’si on ne parle pas le même langage, le même standard, il y aura toujours des failles’’.
C’est pourquoi, poursuit-il, Huawei défend ‘’tout ce qui est standardisation et conformité au standard’’, en privilégiant ‘’la formation du capital humain’’, car la plupart des problèmes liés à la cybercriminalité proviennent des problèmes humains d’usage’’, soutient encore M. Ben Halima.
‘’Du coup, on est très attentif à proposer des formations dans chaque pays, à augmenter la confiance des gens par rapport à l’importance de la cybercriminalité et aussi former des personnes ressources pour parler de la souveraineté numérique’’, souligne t-il.
Pour M. Ben Halima, Huawei a des solutions infrastructures. ‘’Nous n’avons pas de solution africaine ou asiatique ou européenne. Ce sont les mêmes standards que nous vendons partout dans le monde. Ils sont sécurisés. Toutefois, ce qui change par rapport au contexte africain, c’est le volet humain. Là où Huawei peut intervenir c’est en formant le personnel local sur le continent’’, fait-il remarquer.
Pour gérer les systèmes d’informations numériques, il faut donc former des jeunes pour que le pays soit autonome. ‘’Investir sur la sécurité c’est investir sur les risques et parfois il y a des chefs d’entreprise qui minimisent la chose en disant que c’est de l’argent perdu, qu’il n’existe pas beaucoup de risques mais malheureusement quand le problème arrive, la solution coûtera beaucoup plus cher que l’investissement initial. Il ne faut jamais voir l’investissement sur la sécurité comme étant un centre de coûts’’, conseille encore Adnane Ben Halima.
‘’Il faut prioriser la cybersécurité au plus haut niveau de l‘entreprise et au plus haut niveau de l’Etat. En effet, le modèle de gouvernance donne de l’importance à ce sujet pour ne pas le négliger. Car, les inconvénients d’un manque de sécurité seront catastrophiques pour un Etat ou une entreprise lorsque le processus n’est pas en place’’, conclut-il.
‘’On le voit à travers les projets qui se mettent en place soit par les opérateurs privés soit par le gouvernement (…). Pour nous, c’est la locomotive qui va montrer la voie à tous les pays aux alentours, dans la sous-région, en termes de transformation digitale’’, fait savoir Adnane Ben Halima, se disant ‘’très ravi’’ de travailler avec des partenaires ivoiriens sur l’économie digitale.
Selon lui, la cybersécurité constitue le capital-confiance qui lie l’usager aux systèmes numériques. ‘’ Huawei est fournisseur d’infrastructures. Et nous essayons de promouvoir les systèmes d’informations numériques et s’il n’y a pas de confiance, il n’y a pas de développement. Pas seulement pour Huawei mais pour tous les pays’’, observe-t-il.
Pour M. Ben Halima, l’économie digitale est une très bonne opportunité pour les pays parce que ‘’la vitesse de l’économie digitale a une plus forte croissance que l’économie traditionnelle grâce notamment au numérique’’, soutient le Vice-président chargé des Relations publiques à Huawei Northern Africa.
Il avance que si les problèmes de sécurité informatique empêchent le développement, ce serait vraiment dommage pour tout le monde.
‘’Car, la cybersécurité va permettre le développement du numérique dans nos vies, dans différents business comme la finance, le sport, l’éducation, la santé… Le plus important c’est de pouvoir évoluer dans cette consommation numérique tout en sécurisant les informations et les usagers’’, conseille Adnane Ben Halima, prévenant que ‘’si on ne parle pas le même langage, le même standard, il y aura toujours des failles’’.
C’est pourquoi, poursuit-il, Huawei défend ‘’tout ce qui est standardisation et conformité au standard’’, en privilégiant ‘’la formation du capital humain’’, car la plupart des problèmes liés à la cybercriminalité proviennent des problèmes humains d’usage’’, soutient encore M. Ben Halima.
‘’Du coup, on est très attentif à proposer des formations dans chaque pays, à augmenter la confiance des gens par rapport à l’importance de la cybercriminalité et aussi former des personnes ressources pour parler de la souveraineté numérique’’, souligne t-il.
Pour M. Ben Halima, Huawei a des solutions infrastructures. ‘’Nous n’avons pas de solution africaine ou asiatique ou européenne. Ce sont les mêmes standards que nous vendons partout dans le monde. Ils sont sécurisés. Toutefois, ce qui change par rapport au contexte africain, c’est le volet humain. Là où Huawei peut intervenir c’est en formant le personnel local sur le continent’’, fait-il remarquer.
Pour gérer les systèmes d’informations numériques, il faut donc former des jeunes pour que le pays soit autonome. ‘’Investir sur la sécurité c’est investir sur les risques et parfois il y a des chefs d’entreprise qui minimisent la chose en disant que c’est de l’argent perdu, qu’il n’existe pas beaucoup de risques mais malheureusement quand le problème arrive, la solution coûtera beaucoup plus cher que l’investissement initial. Il ne faut jamais voir l’investissement sur la sécurité comme étant un centre de coûts’’, conseille encore Adnane Ben Halima.
‘’Il faut prioriser la cybersécurité au plus haut niveau de l‘entreprise et au plus haut niveau de l’Etat. En effet, le modèle de gouvernance donne de l’importance à ce sujet pour ne pas le négliger. Car, les inconvénients d’un manque de sécurité seront catastrophiques pour un Etat ou une entreprise lorsque le processus n’est pas en place’’, conclut-il.
HS/ls/Top News Africa
Publié le mercredi 26 avril 2023