Selon la note transmise, jeudi, à l’agence de presse Top News Africa, cet atelier a pour objectifs de renforcer le partenariat entre les entreprises dirigées par les femmes et le secteur privé, à travers des mécanismes innovants et équitables pour des opportunités d’approvisionnement.
L’approvisionnement sensible au genre, selon Elena Ruiz, directrice régionale adjointe d’ONU Femmes pour l’Afrique de l’Ouest, contribue à plusieurs effets, à savoir ‘’la croissance des PME (Petites et moyennes entreprises) dirigées par les femmes grâce à une augmentation des opportunités commerciales, une meilleure participation des femmes au marché du travail, le développement de l’entrepreneuriat féminin, et une réduction de l’écart des rémunérations entre les hommes et les femmes’’.
Citant des études, Mme Ruiz a indiqué que 30% des PME sont détenues par les femmes dans le monde. Par contre, seulement 1% de l’ensemble des contrats sont passés par des femmes ou par des entreprises menées par des femmes.
Ce qui a fait dire à Félix Yenan, le directeur exécutif adjoint de la CGECI que cet atelier vient à point nommé. Selon lui, ‘’les PME dirigées par les femmes doivent être soutenues pour la relance de leurs activités post-Covid et pour leur permettre d’avoir accès notamment aux informations sur les politiques commerciales, sur la ZLECA (Zone de libre-échange continentale africaine) et relatives aux réseaux de développement des affaires’’, a-t-il soutenu.
Pour y parvenir, le gouvernement, le secteur privé et les partenaires institutionnels doivent mettre en œuvre des politiques qui renforcent la participation des femmes au commerce tant au niveau national qu’international, donner aux entreprises dirigées par les femmes les moyens de participer aux marchés publics et privés, a émis M. Yenan.
Quatre-vingt femmes dirigeantes de PME ont pris part à cet atelier duquel un plaidoyer est attendu dans les prochains jours, signale-t-on.
L’approvisionnement sensible au genre, selon Elena Ruiz, directrice régionale adjointe d’ONU Femmes pour l’Afrique de l’Ouest, contribue à plusieurs effets, à savoir ‘’la croissance des PME (Petites et moyennes entreprises) dirigées par les femmes grâce à une augmentation des opportunités commerciales, une meilleure participation des femmes au marché du travail, le développement de l’entrepreneuriat féminin, et une réduction de l’écart des rémunérations entre les hommes et les femmes’’.
Citant des études, Mme Ruiz a indiqué que 30% des PME sont détenues par les femmes dans le monde. Par contre, seulement 1% de l’ensemble des contrats sont passés par des femmes ou par des entreprises menées par des femmes.
Ce qui a fait dire à Félix Yenan, le directeur exécutif adjoint de la CGECI que cet atelier vient à point nommé. Selon lui, ‘’les PME dirigées par les femmes doivent être soutenues pour la relance de leurs activités post-Covid et pour leur permettre d’avoir accès notamment aux informations sur les politiques commerciales, sur la ZLECA (Zone de libre-échange continentale africaine) et relatives aux réseaux de développement des affaires’’, a-t-il soutenu.
Pour y parvenir, le gouvernement, le secteur privé et les partenaires institutionnels doivent mettre en œuvre des politiques qui renforcent la participation des femmes au commerce tant au niveau national qu’international, donner aux entreprises dirigées par les femmes les moyens de participer aux marchés publics et privés, a émis M. Yenan.
Quatre-vingt femmes dirigeantes de PME ont pris part à cet atelier duquel un plaidoyer est attendu dans les prochains jours, signale-t-on.
HS/Top News Africa
Publié le jeudi 19 octobre 2023