Selon le récit d'El Hadj Mamadou Traoré, publié sur sa page Méta, jeudi aux environs de 18h45 (GMT et heure locale) pendant que Soul To Soul, Dr Ali Aman et lui-même prenaient leur thé, un drone est venu s'immobiliser sur leurs têtes en les fixant dangereusement. "Soul To Soul de nous signaler, docteur Ali Aman et moi, la présence du drone sur nos têtes'', relate-t-il.
Il poursuit que "pour avoir des preuves de sa présence, nous avons pris des photos du drone qui, à notre vue, a amorcé plusieurs déplacements'' et ''avons pu détecter la présence de celui qui pilotait le drone sur la toiture d'une résidence voisine''. Avec le personnel de maison de Soul To Soul, ils ont saisi le drone des mains du pilote.
La police alertée est venue aussitôt et les agents ont saisi le drone pour nécessité d'enquête. ''Les propriétaires du drone sont venus demander pardon avec des arguments non convaincants pour justifier la présence du drone à la résidence de Soul To Soul et ont souhaité que leur matériel leurs soit remis'', explique M. Traoré, également, proche et Conseiller spécial de Guillaume Soro. Mais la police a préféré garder le drone pour nécessité d'enquête.
Mamadou Traoré rappelle que plusieurs fois Soul To Soul a signalé à la police la présence constante de drones chez lui mais on lui demandait toujours les preuves de ses allégations.
Il poursuit que "pour avoir des preuves de sa présence, nous avons pris des photos du drone qui, à notre vue, a amorcé plusieurs déplacements'' et ''avons pu détecter la présence de celui qui pilotait le drone sur la toiture d'une résidence voisine''. Avec le personnel de maison de Soul To Soul, ils ont saisi le drone des mains du pilote.
La police alertée est venue aussitôt et les agents ont saisi le drone pour nécessité d'enquête. ''Les propriétaires du drone sont venus demander pardon avec des arguments non convaincants pour justifier la présence du drone à la résidence de Soul To Soul et ont souhaité que leur matériel leurs soit remis'', explique M. Traoré, également, proche et Conseiller spécial de Guillaume Soro. Mais la police a préféré garder le drone pour nécessité d'enquête.
Mamadou Traoré rappelle que plusieurs fois Soul To Soul a signalé à la police la présence constante de drones chez lui mais on lui demandait toujours les preuves de ses allégations.
HS/Top News Africa
Publié le vendredi 5 juillet 2024