M. Sagna reproche à Macky Sall, qui a dirigé le pays entre 2012 et 2024, d'avoir ''dissimulé'' les chiffres réels sur la situation économique du pays entre 2019 et 2023.
Le député dénonce, notamment, une "gestion opaque" caractérisée par des "manipulations comptables" dont des "dépenses non retracées" ou "des opérations extra-budgétaires non reversées" au cours de la période indiquée, qui ont conduit à une ''sous-évaluation délibérée'' du déficit public et de la dette réelle, explique-t-il sur sa page officielle Meta.
Selon Guy Maruis Sagna, il ressort du rapport de la Cour des comptes que plus de 2 517 milliards francs CFA ont été contractés en dehors de tout circuit légal, sans autorisation parlementaire ni inscription dans une loi de finances régulièrement votée, accuse-t-il.
Toutefois, cette proposition du député du parti au pouvoir doit, d'abord, passer par le bureau de l'Assemblée nationale, avant un examen en commission des Lois suivi de son éventuel vote en séance plénière.
Selon la Constitution sénégalaise, ''la mise en accusation d'un président ou ancien président est votée par l'Assemblée nationale à la majorité des trois cinquièmes de ses membres".
Et, il peut, le cas échéant, être poursuivi pour ''haute trahison'' devant la Haute cour de justice.
Le député dénonce, notamment, une "gestion opaque" caractérisée par des "manipulations comptables" dont des "dépenses non retracées" ou "des opérations extra-budgétaires non reversées" au cours de la période indiquée, qui ont conduit à une ''sous-évaluation délibérée'' du déficit public et de la dette réelle, explique-t-il sur sa page officielle Meta.
Selon Guy Maruis Sagna, il ressort du rapport de la Cour des comptes que plus de 2 517 milliards francs CFA ont été contractés en dehors de tout circuit légal, sans autorisation parlementaire ni inscription dans une loi de finances régulièrement votée, accuse-t-il.
Toutefois, cette proposition du député du parti au pouvoir doit, d'abord, passer par le bureau de l'Assemblée nationale, avant un examen en commission des Lois suivi de son éventuel vote en séance plénière.
Selon la Constitution sénégalaise, ''la mise en accusation d'un président ou ancien président est votée par l'Assemblée nationale à la majorité des trois cinquièmes de ses membres".
Et, il peut, le cas échéant, être poursuivi pour ''haute trahison'' devant la Haute cour de justice.
HS/Top News Africa
Publié le mardi 15 avril 2025