"Je suis venu voir le doyen, le seul pays dans la sous-région, entouré par trois autres touchés par les coups d'Etat, notamment, la Guinée, le Mali et le Burkina Faso, pour trouver comment gérer la situation sécuritaire dans la zone », a déclaré, Umaro Sissoco Embalo, par ailleurs président de la Guinée-Bissau.
"La CEDEAO est venue aujourd'hui parce que le Ghana, le Nigeria et la Côte d'Ivoire sont des grandes nations de la sous-région, on ne peut pas prendre des décisions sans eux", a-t-il ajouté.
En outre, le président ivoirien, Alassane Ouattara, évoquant la situation des 46 soldats ivoiriens emprisonnés au Mali, a dit que "la situation est sous contrôle grâce à la méditation du président togolais Faure Gnassingbé et qu'il aura un aboutissement bientôt".
Sur le coup d'Etat au Burkina Faso, le président Umaro Sissoco Embalo, a apprécié que le nouvel homme fort du Burkina ait voulu accepter les engagements de la CEDEAO en cours avant ce nouveau coup de force du 30 septembre 2022.
DNG/ls/Top News Africa
Publié le vendredi 7 octobre 2022