L’information a été donnée dans une publication sur la page Facebook du PDCI, ce mercredi 3 septembre 2025.
«Aujourd’hui, nous saluons la libération de notre frère Macron 1er. Son courage dans l’épreuve reste un exemple pour nous tous. Cette victoire nous rappelle que la lutte pour la démocratie continue », écrit le PDCI.
De son vrai nom N’Guetta Axel Ludovic Komenan, Macron 1er a été accueilli par Alain Caucauthrey, directeur de cabinet du président du PDCI, Tidjane Thiam, au siège de ce parti, dans la commune de Cocody, dans l’est d’Abidjan.
«Je remercie Dieu Tout-Puissant, je remercie le président du PDCI, Tidjane Thiam, la direction du parti, tous les militants et mon avocat, Me Rodrigue Dadjé. Le combat continue », a renchéri Macron 1er.
«Je remercie Dieu Tout-Puissant, je remercie le président du PDCI, Tidjane Thiam, la direction du parti, tous les militants et mon avocat, Me Rodrigue Dadjé. Le combat continue », a renchéri Macron 1er.
Il avait été reconnu coupable de « troubles à l’ordre public, diffamation et offense au chef de l’État», le jeudi 13 mars 2025 et a été condamné par le tribunal de première instance d’Abidjan à 1 an de prison ferme.
Cette libération intervient alors que le parti dirigé par l’ex- président Laurent Gbagbo, le PPA-CI dénonce l’arrestation d’un de ses militants, Mamadou Zigui survenue dans la nuit de lundi à mardi 2 septembre.
Ce dernier est considéré comme un cyberactiviste. Il serait reproché à Zigui, la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo évoquant les délibérations prochaines du Conseil constitutionnel relatives à la liste définitive des candidats à la présidentielle du 25 octobre 2025.
La Côte d’Ivoire organise son élection présidentielle le 25 octobre 2025 pour laquelle le Conseil constitutionnel doit publier au plus tard le 10 septembre 2025, la liste définitive des candidats retenus après l’examen d’une soixantaine de dossiers de candidature reçus de la Commission électorale indépendante (CEI).
Dans cette attente, la candidature du président Alassane Ouattara et l’exclusion des principaux opposants sous le coup de condamnations judiciaires et un cadre électoral non consensuel suscitent des craintes quant au bon déroulement du vote.
Mais le président Alassane Ouattara rassure dans ses déclarations que ce scrutin sera apaisé et sécurisé.
KI/Top News Africa
Publié le mercredi 3 septembre 2025